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PARTIE 1 : Le dracogramme de la prophétie draconique
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BigMaster- Admin
- Nombre de messages : 2076
Age : 58
Prénom (valide requis) : JC
Date d'inscription : 29/07/2008
Re: PARTIE 1 : Le dracogramme de la prophétie draconique
An 994, le 20 de Aularune.
En contrebas, le fracas de la
bataille est assourdissant et je peine à entendre les ordres d’Ulysse, notre
chef. Les hurlements de centaines blessés se mêlent au fracas métalliques de
milliers d’épées et de haches contre les armures et les boucliers. Au cœur de
la bataille, trop occupés à sauver leurs peaux, aucun soldat ne remarque cette
assourdissante clameur des corps et des armes. Sur le chemin, envoyés par le
commandant vers cette tour en ruines pour découvrir si elle ne dissimule je ne
sais quel sombre secret, nous sommes par contre pleinement exposés à cet
effroyable vacarme.
Pourtant, si ce n’était que le
bruit, cela resterait supportable ; car pour le moment chaque membre de
notre petite expédition, composée de mercenaires et d’un chef de l’armée de
Breland, accélère l’allure afin d’atteindre les ruines et échapper aux vents
dominants emportant avec eux le lot d’odeurs putrides d’un champ de batailles.
Moi-même, l’Athaanôr, le presque inerte comme disent les nains, je force sur ma
jambe faible et emboîte le train à mes compagnons, le nez dans un foulard pour
ne pas inspirer les relents d’urines et d’excréments des vivants mêlés aux
odeurs de viscères et de sang des morts.
C’est aux abords des ruines que
Jester - gnome, voleur, éclaireur et bien plus de son état - aperçoit un barde
qui souhaite lui aussi en connaître plus sur cet édifice. Edifice qui semble
décidément attirer les curieux car à son pied nous y découvrons deux autres
personnes. Las, les présentations sont à reporter car Drik le barde, dans un
empressement chaleureux à saluer les étrangers d’un chant d’amitié entonné
d’une voix forte et mélodieuse, révèle notre présence à d’hostiles créatures
cachées au sein de la tour et dans le creux de la terre : l’homme au pied
de la tour est ainsi fauché par un carreau d’arbalètes tiré par une créature à
quatre bras et deux têtes. De mon côté, contournant les ruines avec le druide
elfe Yavathol, nous sommes agressés par de petites créatures insectoïdes aux
cris si blessants qu’ils feraient passer le vacarme de la bataille pour une
douce mélopée.
Lorsqu’enfin l’échauffourée se
conclue, aucune perte n’est à signaler mais plusieurs d’entre nous sont
gravement blessés dont l’elfe Ly qui a frôlé la mort. Heureusement pour nous
Nakamelk, l’homme blessé par le carreau, est un guérisseur. Alors qu’il prie
son dieu de nous apporter soins et bénédiction le barde, encore lui, rentre
insouciamment dans la tour pour voir ce qu’elle recèle… et découvre emprisonnés
le commandeur Bren Hirgaden et son aide de camp autour d’un dracogramme. Ce dernier
recèle un message visible de tous : sept au bord du monde contre le
rugissement de la tempête.
Pourtant à peine avons-nous le
temps de nous interroger sur le sens caché de cette formule, qu’en ressortant
de la tour nous sommes interpellés par une nécromancienne prédisant notre mort
et accompagnant sa sentence d’une infâme horde de zombies. Le combat est âpre
et acharné, d’autant que de sombres nuages noirs aux éclats rougeoyants
s’amoncellent dans le ciel. Et tandis que nos attaques se portent sur la
nécromancienne pour l’empêcher d’invoquer sans cesse des défunts, de sombres
nuées ténèbreuses descendent du ciel sur la bataille en contrebas pour ne plus
former qu’une vaste brume noire. Lorsqu’enfin la sorcière et ses dernières
créatures meurent, un implacable silence, séduisant à l’oreille mais
insoutenablement angoissant empli l’atmosphère.
En contrebas, le champ de
bataille est recouvert d’une immense brume interminable et à l’intérieur, plus
âme qui vive.
C’est le jour du Deuil. Tout un
pan du continent est mystérieusement recouvert de brumes. Ces contrées maudites
sont désormais connues sous le nom des terres du Deuil.
En contrebas, le fracas de la
bataille est assourdissant et je peine à entendre les ordres d’Ulysse, notre
chef. Les hurlements de centaines blessés se mêlent au fracas métalliques de
milliers d’épées et de haches contre les armures et les boucliers. Au cœur de
la bataille, trop occupés à sauver leurs peaux, aucun soldat ne remarque cette
assourdissante clameur des corps et des armes. Sur le chemin, envoyés par le
commandant vers cette tour en ruines pour découvrir si elle ne dissimule je ne
sais quel sombre secret, nous sommes par contre pleinement exposés à cet
effroyable vacarme.
Pourtant, si ce n’était que le
bruit, cela resterait supportable ; car pour le moment chaque membre de
notre petite expédition, composée de mercenaires et d’un chef de l’armée de
Breland, accélère l’allure afin d’atteindre les ruines et échapper aux vents
dominants emportant avec eux le lot d’odeurs putrides d’un champ de batailles.
Moi-même, l’Athaanôr, le presque inerte comme disent les nains, je force sur ma
jambe faible et emboîte le train à mes compagnons, le nez dans un foulard pour
ne pas inspirer les relents d’urines et d’excréments des vivants mêlés aux
odeurs de viscères et de sang des morts.
C’est aux abords des ruines que
Jester - gnome, voleur, éclaireur et bien plus de son état - aperçoit un barde
qui souhaite lui aussi en connaître plus sur cet édifice. Edifice qui semble
décidément attirer les curieux car à son pied nous y découvrons deux autres
personnes. Las, les présentations sont à reporter car Drik le barde, dans un
empressement chaleureux à saluer les étrangers d’un chant d’amitié entonné
d’une voix forte et mélodieuse, révèle notre présence à d’hostiles créatures
cachées au sein de la tour et dans le creux de la terre : l’homme au pied
de la tour est ainsi fauché par un carreau d’arbalètes tiré par une créature à
quatre bras et deux têtes. De mon côté, contournant les ruines avec le druide
elfe Yavathol, nous sommes agressés par de petites créatures insectoïdes aux
cris si blessants qu’ils feraient passer le vacarme de la bataille pour une
douce mélopée.
Lorsqu’enfin l’échauffourée se
conclue, aucune perte n’est à signaler mais plusieurs d’entre nous sont
gravement blessés dont l’elfe Ly qui a frôlé la mort. Heureusement pour nous
Nakamelk, l’homme blessé par le carreau, est un guérisseur. Alors qu’il prie
son dieu de nous apporter soins et bénédiction le barde, encore lui, rentre
insouciamment dans la tour pour voir ce qu’elle recèle… et découvre emprisonnés
le commandeur Bren Hirgaden et son aide de camp autour d’un dracogramme. Ce dernier
recèle un message visible de tous : sept au bord du monde contre le
rugissement de la tempête.
Pourtant à peine avons-nous le
temps de nous interroger sur le sens caché de cette formule, qu’en ressortant
de la tour nous sommes interpellés par une nécromancienne prédisant notre mort
et accompagnant sa sentence d’une infâme horde de zombies. Le combat est âpre
et acharné, d’autant que de sombres nuages noirs aux éclats rougeoyants
s’amoncellent dans le ciel. Et tandis que nos attaques se portent sur la
nécromancienne pour l’empêcher d’invoquer sans cesse des défunts, de sombres
nuées ténèbreuses descendent du ciel sur la bataille en contrebas pour ne plus
former qu’une vaste brume noire. Lorsqu’enfin la sorcière et ses dernières
créatures meurent, un implacable silence, séduisant à l’oreille mais
insoutenablement angoissant empli l’atmosphère.
En contrebas, le champ de
bataille est recouvert d’une immense brume interminable et à l’intérieur, plus
âme qui vive.
C’est le jour du Deuil. Tout un
pan du continent est mystérieusement recouvert de brumes. Ces contrées maudites
sont désormais connues sous le nom des terres du Deuil.
Eric- Niveau 7
- Nombre de messages : 3874
Age : 43
Prénom (valide requis) : Eric
Date d'inscription : 30/07/2008
Re: PARTIE 1 : Le dracogramme de la prophétie draconique
An 994, le 20 de Aularune
D'un champ de bataille une mer de brume est née.
De la mer de brume la mort est arrivée.
Des vagues de brume, une nouvelle ère ont annoncée.
De la brume, de la brume partout et qui recouvre tout.
Mais pourquoi ? A cause de qui ? De quoi ?
Au commencement, une mission de secours.
D'un champ de bataille une mer de brume est née.
De la mer de brume la mort est arrivée.
Des vagues de brume, une nouvelle ère ont annoncée.
De la brume, de la brume partout et qui recouvre tout.
Mais pourquoi ? A cause de qui ? De quoi ?
Au commencement, une mission de secours.
J'étais tout heureux d'avoir été sélectionné dans la matinée pour accompagner le jeune, inexpérimenté mais non moins sympathique officier Ulysse. La petite unité est composée d'un nain du nom d'Athaanôr ce qui signifie dans sa langue d'origine «a mal au pied droit» enfin j'crois, Yavathol un elfe capable de se transformer en panthère et ça c'est trop génial, il faut qu'il m'apprenne, et enfin de moi donc.
Vraiment aujourd'hui Olladra est avec moi, comme quoi ma pièce fétiche est vraiment magique car ce matin je lui avais demandé de m'écarter de cette bataille rangée. Et me voilà parti pour une exploration de tour, y a toujours des trucs bien dans les tours surtout quand elles sont en ruines, comme celle qui se trouve devant nous en ce beau matin de bataille.
Mais là, la première surprise est de rencontrer un barde plutôt bon chanteur du nom de Drike. Tellement bon que les trucs de la tour en sortent pour le faire taire !
Y avait des truc avec quatre bras et d'autres plus petits qui piquent et sortent de terre pour se ruer vers nous. A ce moment moi qui n'aime pas la rigueur militaire j'étais ravi, en effet notre unité était éparpillée toute autour de la dite tour. Alors que Ulysse et Drike étaient en pleine joute verbale sur l'intérêt d'un chant de si bon matin, Yavathol et Athaanôr se dirigeaient vers les restes de l'entrée de la tour. Enfin s'ajoute à ce tableau deux individus se trouvant de l'autre coté de la tour, eux aussi assaillis par le chant et les trucs. Donc voilà, à ce moment là le plan mis en place par Ulysse se passe sans accroc et nous repoussons les ennemis au prix de quelques blessures vite soignées par un guérisseur. Celui-ci d'une race que je n'avais encore jamais rencontrée « un humain qui n'est pas humain » se trouvait de l'autre coté de la tour avec un elfe qui utilise « la magie mais qui n'est pas magicien », décidément j'adore cette journée !
Lors des soins le guérisseur me confie qu'il peut guérir par la prière, ce qui m'incite à lui parler des pouvoirs de ma pièce magique et le laisse sans voix. Mais pendant ce temps, notre chanteur entre dans la tour alors que le groupe récupère. Là il trouve deux hommes enchaînés, l'un Bren ir'Gaaden est un noble, plutôt désagréable d'ailleurs, que nous sommes venus secourir, l'autre est son aide de camp.
Sous les pieds de l'aide de camp est tracé un dracogramme que le barde essaye de nettoyer avec un dracolithe, là un des elfes se jette sur lui pour je ne sais quelle raison et tombe sur le symbole magique et perd connaissance. Moi et Ulysse l'en retirons au plus vite, là il nous raconte avoir eu des visions. Il faut que je regarde cela de plus près ! Je me positionne sur le symbole et donc perte de connaissances, vision et mal de crâne. A peine le temps de récupérer que le dracogramme s'avère être linguiste et nous parle dans nos langues d'origine : « Sept, au bord de la désolation, comme un seul homme contre le rugissement de la tempête » ça tombe bien on est sept ! Cool ! J'embrasse ma pièce.
Il est temps de repartir, Ulysse organise la sortie et donc l'on se trouve face à des morts vivants, une nécromancienne et une tempête d'éclairs et de flammes qui se dirige de façon rapide depuis le champs de bataille vers nous. Le combat se déroule plutôt bien, Ulysse s'avère être un fin tacticien en organisant un retranchement dans une tour pleine de trous, moi j'y aurais jamais pensé ! D'ailleurs je suis sorti.
Mais à la fin du combat la tempête s'arrête à nos pieds, et le champ de bataille se trouve recouvert de cette brume. Là sous cette épaisse purée de pois magique nous découvrons l'horreur, les deux immenses armées ont été toutes deux mises en charpie et un pan complet du continent se trouve maintenant recouvert de cette brume magique. Comme quoi la folie des hommes a un coût !
La journée termine mal... dommage, elle avait plutôt bien commencé !
Invité- Invité
Re: PARTIE 1 : Le dracogramme de la prophétie draconique
*Musique douce et attristante*
Il y a de cela quatre ans, une guerre fut terminé
Dans un voile de brume, cette guerre fut celé
Dans une ancien tour, sept héros furent rescapés
Dans une ancien tour, sept destins furent comptés
Ceci mes amis, et une sonate de deuil
Ceci mes amis, et une ode pour le deuil
Ceci mes amis, et une hymne au deuil
Ceci mes amis, et la journée du deuil
Il y a de cela quatre ans, une guerre fut terminé
Dans un voile de brume, cette guerre fut celé
Dans une ancien tour, sept héros furent rescapés
Dans une ancien tour, sept destins furent comptés
Ceci mes amis, et une sonate de deuil
Ceci mes amis, et une ode pour le deuil
Ceci mes amis, et une hymne au deuil
Ceci mes amis, et la journée du deuil
Le chant de la guerre, entoure cette tour
Le chant de la mort, entoure cette tour
Nous étions sept, entourant ce lieu
Nous étions sept, mais vraiment a mile lieu
Athaanôr, le nain a jambe d'or
Ulysse, l'humain a qui je dois la vie
Jester, le gnome a la pièce d'or
Nakamelk, l'humain a qui j'ai sauvais la vie
Yavathol, l'elfe au regard en or
Lee, l'elfe qui aime m'être les points sur les i
Et enfin Drik votre très cher Mentor
Nous combattirent, autour de l'édifice
Leurs cadavres, aujourd'hui pourrisse
Ceci mes amis, et une sonate de deuil
Ceci mes amis, et une ode pour le deuil
Ceci mes amis, et une hymne au deuil
Ceci mes amis, et la journée du deuil
Nous explorions, donc ces ruines
Nous trouvaille, que deux âmes captives
Cette tour ne recelait guère de secret
Cette tour ne recelait guère qu'un secret
« Sept, au bord de la désolation, homme un seul homme contre le rugissement de la tempête »
Tel était le sombre présage, d'un funeste carnage
Ce présage était il draconnique, ce carnage était il prophétique
Ceci mes amis, et une sonate de deuil
Ceci mes amis, et une ode pour le deuil
Ceci mes amis, et une hymne au deuil
Ceci mes amis, et la journée du deuil
Les captives libéré, le secret dévoilé
Nous décidame de sortir par l'entré
Elas la mort nous attendait
Tel une armée elle nous attaquait
Notre habilité, fut constaté
Notre courage, fut testé
Notre victoire, fut décidé
Par la lame d'une dague bien effilé
La terre en deuil, nous avons traversé
Les corps gisent des deux armées, nous avons constaté
Vous savez mes amis, j'ai gardé en mémoire ces tristes images
Vous savez mes amis, je n'ai rien oublié de ce voyage.
Ceci mes amis, et une sonate de deuil
Ceci mes amis, et une ode pour le deuil
Ceci mes amis, et une hymne au deuil
Ceci mes amis, et la journée du deuil
*Voix lugubre et marquante sur le dernière refrain*
Hymne, Ode & sonate d'un barde itinérant "En mémoire de la journée du deuil"
Le chant de la mort, entoure cette tour
Nous étions sept, entourant ce lieu
Nous étions sept, mais vraiment a mile lieu
Athaanôr, le nain a jambe d'or
Ulysse, l'humain a qui je dois la vie
Jester, le gnome a la pièce d'or
Nakamelk, l'humain a qui j'ai sauvais la vie
Yavathol, l'elfe au regard en or
Lee, l'elfe qui aime m'être les points sur les i
Et enfin Drik votre très cher Mentor
Nous combattirent, autour de l'édifice
Leurs cadavres, aujourd'hui pourrisse
Ceci mes amis, et une sonate de deuil
Ceci mes amis, et une ode pour le deuil
Ceci mes amis, et une hymne au deuil
Ceci mes amis, et la journée du deuil
Nous explorions, donc ces ruines
Nous trouvaille, que deux âmes captives
Cette tour ne recelait guère de secret
Cette tour ne recelait guère qu'un secret
« Sept, au bord de la désolation, homme un seul homme contre le rugissement de la tempête »
Tel était le sombre présage, d'un funeste carnage
Ce présage était il draconnique, ce carnage était il prophétique
Ceci mes amis, et une sonate de deuil
Ceci mes amis, et une ode pour le deuil
Ceci mes amis, et une hymne au deuil
Ceci mes amis, et la journée du deuil
Les captives libéré, le secret dévoilé
Nous décidame de sortir par l'entré
Elas la mort nous attendait
Tel une armée elle nous attaquait
Notre habilité, fut constaté
Notre courage, fut testé
Notre victoire, fut décidé
Par la lame d'une dague bien effilé
La terre en deuil, nous avons traversé
Les corps gisent des deux armées, nous avons constaté
Vous savez mes amis, j'ai gardé en mémoire ces tristes images
Vous savez mes amis, je n'ai rien oublié de ce voyage.
Ceci mes amis, et une sonate de deuil
Ceci mes amis, et une ode pour le deuil
Ceci mes amis, et une hymne au deuil
Ceci mes amis, et la journée du deuil
*Voix lugubre et marquante sur le dernière refrain*
Hymne, Ode & sonate d'un barde itinérant "En mémoire de la journée du deuil"
Drizze- Niveau 6
- Nombre de messages : 2108
Age : 34
Prénom (valide requis) : Nicolas Robert
Date d'inscription : 15/09/2008
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