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Compte rendu DMH 7/08
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Compte rendu DMH 7/08
Invité Sam 8 Aoû - 10:57
Salut la compagnie,
Voici le compte rendu de la partie d'initiation à la légende de dead man's hand jouée hier soir au club entre les "Foulards rouges" - hors la loi de Fred the Great et les cow boys de ma puce.
Ca faisait une plombe que ces deux là abusaient du whisky chez Rogan.
L'arrivée des étrangers aux foulards rouge a mis un peu d'ambiance en ville qui était bien calme depuis le départ du shériff et de ses adjoints à la poursuite de quelques apaches rebelles en manque de rapide au fond du canyon.
C'est le p'tit gars au foulard rouge venu avec les autres types à la mine patibulaire qui avait lancé le défi et forcément il s'est trouvé un imbécile pour le relever parmi les cow boys de l'Irlandais plus habitués à garder les moutons...enfin je le croyais jusque la.
J'avoue que les gamins m'ont impressionné sur le coup et ca faisait bien rire tout le monde de les regarder essayer de faire tenir leurs verres en équilibre sur leur front...et ce n'est qu'après que j'ai compris ce qui était en train de se passer.
Avant de sortir dans la rue et de disparaitre vers le milieu de l'après midi, un des 4 gars a glissé un mot au jeune de sa bande. Quelques minutes après une dispute éclatait avec son compagnon de beuverie au sujet de la jeune Debie - nouvelle arrivée parmi les filles de la maison de passe au dessus - qui n'avait d'yeux que pour eux et tout le monde a vite dégrisé.
En un tour de main notre petit fermier blessé dans sa virilité entrainait l'autre dehors et ils se faisaient face dans la rue sous un soleil de plomb.
Je vis un de ses complices rentrer chez le barbier avec un sourire en coin qui n'aurait rien du augurer de bon...et surtout avec son calibre 16 à la main. Bon d'accord sir Saint John nous coupe un peu parfois la couenne mais il ne mérite pas de recevoir du plomb dans les fesses quand il se loupe.
Notre p'tit gars fut un instant le héros du village mais fit aussi son entrée dans l'âge adulte. Nous sûmes après que tout cela faisait partie d'un plan bien orchestré. Est ce l'effet de l'alcool ou un don inouï pour le tir, mais toujours est il qu'un instant après son adversaire roulait dans la poussière une balle en plein cœur, alors qu'il avait à peine eu le temps d'esquisser un geste vers son six coups.
A ce moment la les gens attirés par les coups de feu commençaient à peine à sortir de chez eux et ils y retournèrent bien vite en voyant les premières vitres voler et les canons de fusils y apparaitre. De nouveaux coups de feu ne tardèrent pas. Les foulards rouges voulaient venger leur gars et sans doute étaient ils venus pour ca d'ailleurs...se battre tout simplement.
Les gens de chez l'Irlandais ne sont pas restés en reste et allèrent chercher leurs armes. Peu après le plomb volait entre les deux camps. Le révérend Fitzpatrick était même de la partie avec son énorme fusil de chasse au bison mais il essayait avant tout de calmer les esprits, son crucifix à la main.
Perdu au milieu de tout ca, notre gamin tenta bien de trouver refuge chez le barbier mais il tomba nez à nez avec un canon de calibre 16 dont il prit une volée en pleine poitrine. Je n'oublierai jamais son visage au moment où il quitta ce monde...
L'enfer se déchaina ensuite dans la rue. Heureusement tout le monde avait bu et les esprits n'étaient pas bien clairs pour réaliser ce qui se passait ou ce qu'il y avait de mieux à faire pour se débarrasser de ses adversaires et les façades des maisons du quartier furent vite criblées de ferraille.
Insensible à son entourage pendant ce temps, le croquemort tentait de faire son travail. Sans doute était-ce un peu tôt et il tourna bien vite les talons, enfin les roues de son corbillard.
Les foulards rouge s'étaient dissimulés un peu partout. Je me souviens d'un en particulier planqué chez l'épicier ou des badauds s'étaient réfugiés. Croyez moi il ne faisait pas être bon dans le secteur.
Les gars sortaient dans la rue, s'arrosaient à coups de plombs et retournaient vite fait à l'abri, mais dieu soit loué et surtout merci au whisky il y eut surtout des éclats de bois et de verre.
L'Irlandais décida finalement de prendre les choses en main. Il récupéra un fusil au bureau du shériff pour déloger le gars chez l'épicier. Juste après un autre de ses gars fit voler une vitre à l'étage de chez Rogan, faisant fuir la rousse Maggie dont j'eus la chance de voir le nouveau jupon rouge.
Il s'approcha à couvert mais le gars à l'intérieur avait senti venir le coup et attrapa les filles du docteur Beckett venues acheter des friandises. Les pauvres lui servirent de bouclier. Quel lâche. Les gamines se trouvèrent au milieu d'un échange de coups de feux terribles...qui fit voler en éclat tout ce qui pouvait se casser dans le magasin...
A l'autre bout de la rue, le révérend comprit vite qu'il ne faisait pas bon trainer dans le secteur. Avec la bénédiction de l'armurier et une tentative pour faire une sortie sous les coups de feu de deux adversaires, il prit la poudre d'escampette par une ruelle pour se rapprocher du Rogan et prendre à revers le type planqué chez notre barbier.
A peine le temps de se planquer derrière un tas de caisses de fournitures, un canon de fusil pointait par une fenêtre et il se retrouva dans une salle posture.
Sous les yeux ébahis d'un mineur qui n'aurait jamais du être là, il prit une dose de chevrotine qui fit voler les caisses en éclats. Le pauvre se retrouva aspergé de produits du barbier et parfumé pour l'année, mais sain et sauf.
"Tu ne tueras point mon fils" dit il en rappelant les saintes paroles à son agresseur, ce à quoi une nouvelle décharge répondit.
Il était temps d'en finir. S'appuyant sur une caisse, le révérend ajusta son tir du mieux qu'il est possible de le faire quand on presse sur les deux détentes d'une arme aussi énorme et de si près le coup ne pouvait pas manquer sa cible même si jusque la on ne peut pas dire que les tireurs s'étaient distingués par leur habileté.
Le bruit assourdissant de l'arme s'entendit dans toute la ville et le résiné avait repeint de rouge toute l'échoppe du barbier qui eut le plus grand mal à remettre tout ca en état.
Le principal c'est que cette nouvelle perte fit chanceler l'agressivité des Foulards rouges qui prirent leurs jambes à leur cou.
Dans sa fuite le vaurien de chez l'épicier tenta bien de garder les deux gamines en otage mais elles savaient se montrer pestes quand elles volaient et le freinèrent, si bien qu'il les abandonna à la sortie de la ville sous quelques jets de cailloux venus venger le triste état dans lequel leurs poupées toutes neuves se trouvaient.
Ainsi finit cette journée bien agitée. Tout fut remis en ordre mais ces événements étaient annonciateurs de bien des ennuis dans notre paisible ville...
Voici le compte rendu de la partie d'initiation à la légende de dead man's hand jouée hier soir au club entre les "Foulards rouges" - hors la loi de Fred the Great et les cow boys de ma puce.
Ca faisait une plombe que ces deux là abusaient du whisky chez Rogan.
L'arrivée des étrangers aux foulards rouge a mis un peu d'ambiance en ville qui était bien calme depuis le départ du shériff et de ses adjoints à la poursuite de quelques apaches rebelles en manque de rapide au fond du canyon.
C'est le p'tit gars au foulard rouge venu avec les autres types à la mine patibulaire qui avait lancé le défi et forcément il s'est trouvé un imbécile pour le relever parmi les cow boys de l'Irlandais plus habitués à garder les moutons...enfin je le croyais jusque la.
J'avoue que les gamins m'ont impressionné sur le coup et ca faisait bien rire tout le monde de les regarder essayer de faire tenir leurs verres en équilibre sur leur front...et ce n'est qu'après que j'ai compris ce qui était en train de se passer.
Avant de sortir dans la rue et de disparaitre vers le milieu de l'après midi, un des 4 gars a glissé un mot au jeune de sa bande. Quelques minutes après une dispute éclatait avec son compagnon de beuverie au sujet de la jeune Debie - nouvelle arrivée parmi les filles de la maison de passe au dessus - qui n'avait d'yeux que pour eux et tout le monde a vite dégrisé.
En un tour de main notre petit fermier blessé dans sa virilité entrainait l'autre dehors et ils se faisaient face dans la rue sous un soleil de plomb.
Je vis un de ses complices rentrer chez le barbier avec un sourire en coin qui n'aurait rien du augurer de bon...et surtout avec son calibre 16 à la main. Bon d'accord sir Saint John nous coupe un peu parfois la couenne mais il ne mérite pas de recevoir du plomb dans les fesses quand il se loupe.
Notre p'tit gars fut un instant le héros du village mais fit aussi son entrée dans l'âge adulte. Nous sûmes après que tout cela faisait partie d'un plan bien orchestré. Est ce l'effet de l'alcool ou un don inouï pour le tir, mais toujours est il qu'un instant après son adversaire roulait dans la poussière une balle en plein cœur, alors qu'il avait à peine eu le temps d'esquisser un geste vers son six coups.
A ce moment la les gens attirés par les coups de feu commençaient à peine à sortir de chez eux et ils y retournèrent bien vite en voyant les premières vitres voler et les canons de fusils y apparaitre. De nouveaux coups de feu ne tardèrent pas. Les foulards rouges voulaient venger leur gars et sans doute étaient ils venus pour ca d'ailleurs...se battre tout simplement.
Les gens de chez l'Irlandais ne sont pas restés en reste et allèrent chercher leurs armes. Peu après le plomb volait entre les deux camps. Le révérend Fitzpatrick était même de la partie avec son énorme fusil de chasse au bison mais il essayait avant tout de calmer les esprits, son crucifix à la main.
Perdu au milieu de tout ca, notre gamin tenta bien de trouver refuge chez le barbier mais il tomba nez à nez avec un canon de calibre 16 dont il prit une volée en pleine poitrine. Je n'oublierai jamais son visage au moment où il quitta ce monde...
L'enfer se déchaina ensuite dans la rue. Heureusement tout le monde avait bu et les esprits n'étaient pas bien clairs pour réaliser ce qui se passait ou ce qu'il y avait de mieux à faire pour se débarrasser de ses adversaires et les façades des maisons du quartier furent vite criblées de ferraille.
Insensible à son entourage pendant ce temps, le croquemort tentait de faire son travail. Sans doute était-ce un peu tôt et il tourna bien vite les talons, enfin les roues de son corbillard.
Les foulards rouge s'étaient dissimulés un peu partout. Je me souviens d'un en particulier planqué chez l'épicier ou des badauds s'étaient réfugiés. Croyez moi il ne faisait pas être bon dans le secteur.
Les gars sortaient dans la rue, s'arrosaient à coups de plombs et retournaient vite fait à l'abri, mais dieu soit loué et surtout merci au whisky il y eut surtout des éclats de bois et de verre.
L'Irlandais décida finalement de prendre les choses en main. Il récupéra un fusil au bureau du shériff pour déloger le gars chez l'épicier. Juste après un autre de ses gars fit voler une vitre à l'étage de chez Rogan, faisant fuir la rousse Maggie dont j'eus la chance de voir le nouveau jupon rouge.
Il s'approcha à couvert mais le gars à l'intérieur avait senti venir le coup et attrapa les filles du docteur Beckett venues acheter des friandises. Les pauvres lui servirent de bouclier. Quel lâche. Les gamines se trouvèrent au milieu d'un échange de coups de feux terribles...qui fit voler en éclat tout ce qui pouvait se casser dans le magasin...
A l'autre bout de la rue, le révérend comprit vite qu'il ne faisait pas bon trainer dans le secteur. Avec la bénédiction de l'armurier et une tentative pour faire une sortie sous les coups de feu de deux adversaires, il prit la poudre d'escampette par une ruelle pour se rapprocher du Rogan et prendre à revers le type planqué chez notre barbier.
A peine le temps de se planquer derrière un tas de caisses de fournitures, un canon de fusil pointait par une fenêtre et il se retrouva dans une salle posture.
Sous les yeux ébahis d'un mineur qui n'aurait jamais du être là, il prit une dose de chevrotine qui fit voler les caisses en éclats. Le pauvre se retrouva aspergé de produits du barbier et parfumé pour l'année, mais sain et sauf.
"Tu ne tueras point mon fils" dit il en rappelant les saintes paroles à son agresseur, ce à quoi une nouvelle décharge répondit.
Il était temps d'en finir. S'appuyant sur une caisse, le révérend ajusta son tir du mieux qu'il est possible de le faire quand on presse sur les deux détentes d'une arme aussi énorme et de si près le coup ne pouvait pas manquer sa cible même si jusque la on ne peut pas dire que les tireurs s'étaient distingués par leur habileté.
Le bruit assourdissant de l'arme s'entendit dans toute la ville et le résiné avait repeint de rouge toute l'échoppe du barbier qui eut le plus grand mal à remettre tout ca en état.
Le principal c'est que cette nouvelle perte fit chanceler l'agressivité des Foulards rouges qui prirent leurs jambes à leur cou.
Dans sa fuite le vaurien de chez l'épicier tenta bien de garder les deux gamines en otage mais elles savaient se montrer pestes quand elles volaient et le freinèrent, si bien qu'il les abandonna à la sortie de la ville sous quelques jets de cailloux venus venger le triste état dans lequel leurs poupées toutes neuves se trouvaient.
Ainsi finit cette journée bien agitée. Tout fut remis en ordre mais ces événements étaient annonciateurs de bien des ennuis dans notre paisible ville...
Invité- Invité
fredthegreat- Niveau 7
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Age : 48
Localisation : Caen
Prénom (valide requis) : Youenn
Date d'inscription : 04/08/2008 -
Re: Compte rendu DMH 7/08
Invité Lun 10 Aoû - 10:34
Avec plaisir 
J ai fait quelques petites erreurs de regles comme la composition des jeux de carte et surtout le shotgun qui ne peut tirer qu une fois par tour mais j aime bien l esprit delire.
A plus de deux joueurs ca peut etre extra je pense.
J ai fait quelques petites erreurs de regles comme la composition des jeux de carte et surtout le shotgun qui ne peut tirer qu une fois par tour mais j aime bien l esprit delire.
A plus de deux joueurs ca peut etre extra je pense.
Invité- Invité
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