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Compte rendu 22
Histoire et Sortilèges :: Forum :: Jeux de Rôles :: ARCHIVES :: COPS
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Compte rendu 22
Après un long séjour dans l’Union devenue championne du « tout est beau tout est joli parce que si tu bronches t’iras en prison servir de cobaye à un consortium ultra-richissime», vous voilà revenus dans votre bonne vieille Los Angeles, ville de « la liberté et du vice mais au moins on n’est pas des gros fachos ».
Lorsque dans le quartier Indo-Pakistanais un ange vous informe qu’un meurtre VA avoir lieu, déjà vous tiltez. Le mobile n’est pas apparent, et le tueur fou furieux rapidement appréhendé après une course poursuite se terminant sur un gigantesque tournage bollywoodien avec éléphants illégaux et un Sean qui a l’occasion d’exhiber ses talents d’acteurs et de danseurs… You don’t care, ou un truc du genre. Déboule ensuite le COPS Rogers qui vous informe que vous avez mis fin à l’enquête sur l’Anonyme, merci messieurs, et il repart illico sans emporter le tueur, un certain Reginald blanche représentant en assurance.
L’affaire de l’Anonyme, ça vous dit vaguement quelque chose. D’après Hawkins, c’était une lubie de Rogers, qui avait relié différents meurtres comme étant l’auteur d’un seul et même homme, sauf que sur le papier c’était du pur délire (l’affaire a omnibulé Rogers qui s’est même séparé de sa femme). Enfin bref, il a eu raison, et ça se fête, et Rogers plombe l’ambiance tellement il est hyper content… Symdrôme classique dixit la psy, lorsqu’un flic a passé trop de temps sur une affaire compliquée et qu’elle se termine. Là où c’est louche, c’est lorsqu’un représentant de la mairie –un jeune loup du nom de Patrick Starr – vient montrer les crocs et annonce de son plus beau sourire que si l’enquête s’ébruite votre subvention du mois vous passe sous le nez. Pire, lorsque la mairie refuse à Rogers une augmentation, celui-ci démissionne. Omerta vous demande alors de refaire l’enquête… sauf que l’affaire est bouclée, et qu’officiellement il n’y a aucune raison de la ré-ouvrir, et que la mairie va largement vous le faire savoir.
Enquêtes de voisinage, relecture des dossiers, secrétaire au fantasme bizarre, mairie menaçante, suicide de Rogers, la société CaSaPha concernée,… mais au bout du compte vous vous rendez compte que Reginald Blanche avait des crises qui se déclenchaient au contact de personnes ultra-brillantes, probablement des gens à la génétique différente, aux vues de ce que vous avez appris de vos dernières enquêtes.
Tout s’accélère lorsqu’un meurtre est commis, dont le tueur pris en photo par un touriste ressemble étrangement à un Reginald Blanche qui aurait perdu 15kg en 72h et dont l’ADN correspond. Alors que Reginald Blanche est toujours sous surveillance à l’hôpital ! Evidemment, de là à déduire qu’il peut y avoir un clone dans la nature, sachant ce que peut réaliser CaSaPha, il n’y a qu’un pas. En tout cas vous pouvez ré-ouvrir l’enquête, au grand damne de Starr qui devant votre refus de renoncer vous menace à mots couverts.
Des clones, des gens génétiquements différents, des menaces,… Vous pensez à vos familles, et plusieurs d’entre vous acceptent l’offre d’Hiram Chemven de venir résider dans le quartier Réaliste et d’accepter sa protection. Est-ce que c’est se jeter dans la gueule du loup ou bien dans les bras du sauveur ? Le côté obscure ou la force ? Impossible de le dire. S
ean et Coyle, en enquêtant dans le quartier indo-pakistanais, ont découvert aussi un protecteur inattendu en la personne du Roi des singes. Un jeune ado de 13 ans au regard vieux comme le monde, réincarnation de son dieu à la manière du Dalaï-lama, à la voix cajolante et dérangeante, chef d’une des mafias les plus dangereuses de la ville comptant parmi elles les meilleurs assassins répondant au doux nom de mouches. Lui aussi vous propose de venir résider dans son quartier, après un discours métaphorique sur la multitude et les singularités.
Aucune agression durant la nuit, et le lendemain trois certitudes : il faut des preuves solides afin d’obtenir un mandat pour aller chez CaSaPha ; il faut arrêter le meurtrier qui court toujours, le double de Reginald Blanche ; puisque la mairie est hostile, autant les faire chier pour avoir le fin mot de l’histoire.
Voilà, voilà, il vous a sorti le grand jeu et il semble avoir été honnête. Que faire de tout ça ? A qui en parler ? Plutôt que de vous appesantir dessus, vous partez à la recherche du meurtrier. Les SDF du coin parlent d’une ombre, d’un vampire, de je ne sais quel truc apte à alimenter les légendes urbaines, mais en tout cas ça logerait dans des bâtisses abandonnées qui vont bientôt être détruites pour construire de nouveaux logements. Vous partez donc explorer les dites bâtisses quand un groupe d’hommes de la Pegasus Inc – ou des mercenaires portant l’uniforme de la compagnie privée de sécurité – vous assaillent non seulement pour récupérer le corps du double de Reginald Blanche que vous venez de trouver, mais aussi pour vous supprimer car tels sont les ordres. Mais la résistance que vous leur opposez et plus importante qu’ils ne l’escomptaient, d’autant que Can et Arnie étaient en patrouille non loin et arrivent rapidement en renfort. Vous vous en sortez pour une grosse frayeur, surtout Sofia, et pas mal de bleus et contusions pour Coyle et Lyam… Merci les supers armures des COPS et votre patrimoine génétique vous rendant super endurant.
En tout cas Kaminsky a tenu parole, et le mandat pour CaSaPha tombe dans la soirée. Dès demain, vous pourrez pénétrer dans un des labos pharmaceutiques les plus importants du monde, pour y découvrir… La suite au prochain épisode.
Lorsque dans le quartier Indo-Pakistanais un ange vous informe qu’un meurtre VA avoir lieu, déjà vous tiltez. Le mobile n’est pas apparent, et le tueur fou furieux rapidement appréhendé après une course poursuite se terminant sur un gigantesque tournage bollywoodien avec éléphants illégaux et un Sean qui a l’occasion d’exhiber ses talents d’acteurs et de danseurs… You don’t care, ou un truc du genre. Déboule ensuite le COPS Rogers qui vous informe que vous avez mis fin à l’enquête sur l’Anonyme, merci messieurs, et il repart illico sans emporter le tueur, un certain Reginald blanche représentant en assurance.
L’affaire de l’Anonyme, ça vous dit vaguement quelque chose. D’après Hawkins, c’était une lubie de Rogers, qui avait relié différents meurtres comme étant l’auteur d’un seul et même homme, sauf que sur le papier c’était du pur délire (l’affaire a omnibulé Rogers qui s’est même séparé de sa femme). Enfin bref, il a eu raison, et ça se fête, et Rogers plombe l’ambiance tellement il est hyper content… Symdrôme classique dixit la psy, lorsqu’un flic a passé trop de temps sur une affaire compliquée et qu’elle se termine. Là où c’est louche, c’est lorsqu’un représentant de la mairie –un jeune loup du nom de Patrick Starr – vient montrer les crocs et annonce de son plus beau sourire que si l’enquête s’ébruite votre subvention du mois vous passe sous le nez. Pire, lorsque la mairie refuse à Rogers une augmentation, celui-ci démissionne. Omerta vous demande alors de refaire l’enquête… sauf que l’affaire est bouclée, et qu’officiellement il n’y a aucune raison de la ré-ouvrir, et que la mairie va largement vous le faire savoir.
Enquêtes de voisinage, relecture des dossiers, secrétaire au fantasme bizarre, mairie menaçante, suicide de Rogers, la société CaSaPha concernée,… mais au bout du compte vous vous rendez compte que Reginald Blanche avait des crises qui se déclenchaient au contact de personnes ultra-brillantes, probablement des gens à la génétique différente, aux vues de ce que vous avez appris de vos dernières enquêtes.
Tout s’accélère lorsqu’un meurtre est commis, dont le tueur pris en photo par un touriste ressemble étrangement à un Reginald Blanche qui aurait perdu 15kg en 72h et dont l’ADN correspond. Alors que Reginald Blanche est toujours sous surveillance à l’hôpital ! Evidemment, de là à déduire qu’il peut y avoir un clone dans la nature, sachant ce que peut réaliser CaSaPha, il n’y a qu’un pas. En tout cas vous pouvez ré-ouvrir l’enquête, au grand damne de Starr qui devant votre refus de renoncer vous menace à mots couverts.
Des clones, des gens génétiquements différents, des menaces,… Vous pensez à vos familles, et plusieurs d’entre vous acceptent l’offre d’Hiram Chemven de venir résider dans le quartier Réaliste et d’accepter sa protection. Est-ce que c’est se jeter dans la gueule du loup ou bien dans les bras du sauveur ? Le côté obscure ou la force ? Impossible de le dire. S
ean et Coyle, en enquêtant dans le quartier indo-pakistanais, ont découvert aussi un protecteur inattendu en la personne du Roi des singes. Un jeune ado de 13 ans au regard vieux comme le monde, réincarnation de son dieu à la manière du Dalaï-lama, à la voix cajolante et dérangeante, chef d’une des mafias les plus dangereuses de la ville comptant parmi elles les meilleurs assassins répondant au doux nom de mouches. Lui aussi vous propose de venir résider dans son quartier, après un discours métaphorique sur la multitude et les singularités.
Aucune agression durant la nuit, et le lendemain trois certitudes : il faut des preuves solides afin d’obtenir un mandat pour aller chez CaSaPha ; il faut arrêter le meurtrier qui court toujours, le double de Reginald Blanche ; puisque la mairie est hostile, autant les faire chier pour avoir le fin mot de l’histoire.
Grâce à l’aide de Missy et des survivants du groupe du Centaure, vous savez qu’à la mairie il s’agit d’interroger Sebastian Valentine (qui a œuvré à rapprocher la mairie et CaSaPha) ou Pavel Kaminsky (lié à l’histoire de la Djaniveria et l’empoisonnement de l’eau). Etrangement, Kaminsky va vous recevoir et va tout déballer : Messieurs, je suis bien conscient de l'aspect désagréable que représente pour vous cet entretien. Essayez de passer outre votre sentiment de rejet. Votre petit groupe est tenace, vous savez, et après avoir cotoyé de prêt Hiram, avoir obtenu des informations du WIG et des informations capitales de Ariman, je pense qu'il est temps pour vous de connaître toute la vérité.
Vous savez tous ce qu'est la génétique, la transmission de nos données cellulaires, les gênes ; elle explique l'évolution des espèces. Mais peut-être connaissez-vous moins la mémétique, c'est la transmission des données culturelles, les mêmes ; cela explique comment se constitue les cultures.
Depuis des siècles, il existe une branche différente de l'homo sapiens, dont le cerveau s'est développé différemment et qui a la capacité d'influer sur la culture et les moeurs des gens par la parole. On appelle ces gens des méméticiens : Kristin Lane, Hiram Chemven, feu McConroy, Kevin Sutter, mais aussi Conelly le président de l'Union, ou moi-même sommes des méméticiens (Abraham Lincoln en était un, Hitler aussi mais sans le savoir). Vous avez déjà pu voir la foule charmée par un discours de Lane ou Chemven ; nous avons la capacité de captiver les foules, d'imprimer profondément nos idées, et que les gens transmettent ces idées dont ils ont été convaincues.
Et vous dans tout ça, me direz-vous ? J'ai suivi de près votre enquête sur les immigrés de la Djaniveria. Vous savez donc déjà qu'un état a existé, avec une police de l'Ombre. Tout ceci était une expérience menée par des méméticiens (à l'époque des Compagnons et des Réalistes mélangés, bien que ces termes n'existaient pas encore), où l'on a utilisé une autre évolution de l'homo sapiens : des personnes plus résistantes, physiquement –pourquoi croyez vous que vos capacités physiques soient hors normes - mais aussi mentalement vis-à-vis des méméticiens, ce sentiment de rejet au lieu d’être subjugué par un discours. Nous en avons fait une police, les avons drogués pour les rendre plus fort (Jaromir), mais ils se sont rebellés. Cette drogue s'appelle le Trinitron, elle était présente dans la sang de Jaromir mais aussi dans le poison que tentait de révéler le WIG. C'est une drogue synthétique issue du cerveau des méméticiens, produite par un groupe de méméticiens rebelles au début du XXIème siècle, alors que c’était interdit par notre code.
Les plus puissants méméticiens vivaient alors aux Etats-Unis, la plus grande puissance mondiale. On se rendait bien compte qu'une démocratie trop libertaire était vouée à l'échec, et les Etats-Unis ont donc évolué vers un régime plus totalitaire. Toutefois, nous savons bien qu'un régime totalitaire est lui aussi voué à une rébellion tôt ou tard. Mais il y avait divergence parmi les méméticiens : certains étaient pour un totalitarisme et d'autres non. Finalement, ils ont tous été d'accord pour lancer l'expérience Californienne : l'indépendance est arrivée. Le but était de tester un nouveau régime. Les démocrates et les Compagnons font partis des opposants à la dictature, mais avec chacun des variantes dans leurs projets. Les Républicains unifiés sont à la solde de l'Union, histoire de veiller au grain, mais parmi eux Chemven s'est rapidement détaché pour évoluer vers son propre projet. Enfin, ultime garde-fou expérimental et condition sine qua non à l’expérience californienne : le COPS. Vous avez tous été choisis pour votre capacité à résister aux méméticiens ; mais au lieu de vous contrôler par une drogue, et pour éviter une rébellion, on s'est arrangé pour vous rendre fier et fidèle à vos couleurs : vos fameux masques décorés, vos armes spécifiques à votre unité, vos droits plus larges que tous les autres.
Voilà, vous savez à peu prêt tout. Si ce n'est que l'expérience devient de plus en plus chaotique. Voyant qu'un régime trop libertaire ne peut réussir, les Compagnons ont voulu tenter de contrôler la population grâce au Trinitron, afin d'influencer plus de monde, mais le WIG et surtout vous, avez mis à mal l'affaire. Néanmoins, je pense qu'Hiram a aussi son plan.
Croyez bien que peu de monde ici serait favorable à vous révéler la vérité. Je crois qu'Hiram a ouvertement laissé passer de nombreuses infos, et approuverait peut-être ma démarche. Alors pourquoi je vous le dis ? Une intuition. Que vous sachiez que si une époque se termine, vous avez encore un rôle à jouer. D’ailleurs, mon intuition m’incite à vous prêter main forte : je vais m’arranger pour que vous obteniez le mandat pour CaSaPha.
Voilà, voilà, il vous a sorti le grand jeu et il semble avoir été honnête. Que faire de tout ça ? A qui en parler ? Plutôt que de vous appesantir dessus, vous partez à la recherche du meurtrier. Les SDF du coin parlent d’une ombre, d’un vampire, de je ne sais quel truc apte à alimenter les légendes urbaines, mais en tout cas ça logerait dans des bâtisses abandonnées qui vont bientôt être détruites pour construire de nouveaux logements. Vous partez donc explorer les dites bâtisses quand un groupe d’hommes de la Pegasus Inc – ou des mercenaires portant l’uniforme de la compagnie privée de sécurité – vous assaillent non seulement pour récupérer le corps du double de Reginald Blanche que vous venez de trouver, mais aussi pour vous supprimer car tels sont les ordres. Mais la résistance que vous leur opposez et plus importante qu’ils ne l’escomptaient, d’autant que Can et Arnie étaient en patrouille non loin et arrivent rapidement en renfort. Vous vous en sortez pour une grosse frayeur, surtout Sofia, et pas mal de bleus et contusions pour Coyle et Lyam… Merci les supers armures des COPS et votre patrimoine génétique vous rendant super endurant.
En tout cas Kaminsky a tenu parole, et le mandat pour CaSaPha tombe dans la soirée. Dès demain, vous pourrez pénétrer dans un des labos pharmaceutiques les plus importants du monde, pour y découvrir… La suite au prochain épisode.
Eric- Niveau 7
- Nombre de messages : 3874
Age : 43
Prénom (valide requis) : Eric
Date d'inscription : 30/07/2008
Re: Compte rendu 22
Alors CaSaPha, ce sont des pourris ? Les employés, pas forcément, le patron c'est du lourd. Il avait pour plan de faire disparaître les preuves, et comme il est pragmatique il voulait tout simplement faire sauter l'immeuble avec ses occupants (les volets et portes qui se ferment sur tous les volets et entrées sont réalisés dans un polymère extrêmement résistant, capable de résister à un assaut en bonne et due forme). Lui n'avait qu'à rejoindre le toit et partir en hélico. Pas de bol, un informaticien a découvert le pot aux roses et a saboté l'ascenseur, révélé nombre de documents compromettants et fait sauter l'une des bombes pour prouver ses dires.
Vous voilà donc bloquer, avec deux heures pour sortir avant que tout ne saute. Pour corser le tout : des employés en panique, des employés qui en veulent à mort à leur patron, les réseaux bloqués vers l'extérieur (internet et téléphone), un labo secret atteint par l'explosion (sur les plans le labo n'existe) d'où s'échappe des expériences atteintes par un lychen extrêmement agressif, et des mercenaires toujours fidèles à leur patron.
Votre objectif sera essentiellement de donner des tâches aux employés pour les occuper et leur donner de l'espoir, ainsi qu'assurer la sécurité de tout le monde. Les chimistes réussiront à ouvrir une brêche dans un des volets du vingtième étage (moins résistant que ceux des premiers étages) ce qui vous permettra de communiquer avec l'extérieur, et permettra aux informaticiens de remettre en place le réseau. Ce qui vous sauvera la vie, Miss Moon réussissant à vous communiquer dans les dix dernières minutes les codes d'accès pour évacuer par les sous-sols.
Néanmoins, dix minutes ne suffiront pas à évacuer 314 personnes, et au final il y aura 192 survivants.
En dehors de Santana, les médias n'y verront pas le moindre mérite. CaSaPha sont des pourris, CaSaPha est liée à la mairie qui est déjà mal vue, et les COPS sont le service de protection de la mairie. Bref, c'est un cercle vicieux. En évitant un carnage encore plus important, vous avez creusé votre tombe.
Dans tout ça, il vous manque le fameux docteur Callaghan, réfugié dans un labo sous le nom de code Psaume 23 : 4 (je marche dans la vallée...). Ah oui, et puis Lane est victime d'un attentat où elle perdra son amant, membre des COPS, Labcatal. Autant dire que la goutte d'eau a largement débordé du vase pour elle.
Bref, lorsque vous découvrez que Psaume est une ville d'Arizona et qu'un labo se situe à 23,4 miles de là, que le NABI va coopérer et mettre les moyens, vous vous faites plaisir. Assaut calculé, hélicos furtifs, descente en rappel et course poursuite après le docteur. Un vrai James Bond. Et ça fait du bien.
Et il vous en fallait du bien, parce qu'en rentrant tout fier à LA, votre joie est de courte durée. Vous découvrez vos collègues dans les cartons. La section du COPS est fermée...
Vous voilà donc bloquer, avec deux heures pour sortir avant que tout ne saute. Pour corser le tout : des employés en panique, des employés qui en veulent à mort à leur patron, les réseaux bloqués vers l'extérieur (internet et téléphone), un labo secret atteint par l'explosion (sur les plans le labo n'existe) d'où s'échappe des expériences atteintes par un lychen extrêmement agressif, et des mercenaires toujours fidèles à leur patron.
Votre objectif sera essentiellement de donner des tâches aux employés pour les occuper et leur donner de l'espoir, ainsi qu'assurer la sécurité de tout le monde. Les chimistes réussiront à ouvrir une brêche dans un des volets du vingtième étage (moins résistant que ceux des premiers étages) ce qui vous permettra de communiquer avec l'extérieur, et permettra aux informaticiens de remettre en place le réseau. Ce qui vous sauvera la vie, Miss Moon réussissant à vous communiquer dans les dix dernières minutes les codes d'accès pour évacuer par les sous-sols.
Néanmoins, dix minutes ne suffiront pas à évacuer 314 personnes, et au final il y aura 192 survivants.
En dehors de Santana, les médias n'y verront pas le moindre mérite. CaSaPha sont des pourris, CaSaPha est liée à la mairie qui est déjà mal vue, et les COPS sont le service de protection de la mairie. Bref, c'est un cercle vicieux. En évitant un carnage encore plus important, vous avez creusé votre tombe.
Dans tout ça, il vous manque le fameux docteur Callaghan, réfugié dans un labo sous le nom de code Psaume 23 : 4 (je marche dans la vallée...). Ah oui, et puis Lane est victime d'un attentat où elle perdra son amant, membre des COPS, Labcatal. Autant dire que la goutte d'eau a largement débordé du vase pour elle.
Bref, lorsque vous découvrez que Psaume est une ville d'Arizona et qu'un labo se situe à 23,4 miles de là, que le NABI va coopérer et mettre les moyens, vous vous faites plaisir. Assaut calculé, hélicos furtifs, descente en rappel et course poursuite après le docteur. Un vrai James Bond. Et ça fait du bien.
Et il vous en fallait du bien, parce qu'en rentrant tout fier à LA, votre joie est de courte durée. Vous découvrez vos collègues dans les cartons. La section du COPS est fermée...
Eric- Niveau 7
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Prénom (valide requis) : Eric
Date d'inscription : 30/07/2008
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