cherche deux scenarii de vieux casus belli

hello, je cherche un scénario parue dans le numéro 40 (Flashing blades) et un autre paru dans le numéro 67 (méthode du docteur Chestel) de ce même magazine. quelqu'un pourrait il me prêter/vendre/scanner ?

Ici : http://www.t411.me/torrents/casus-belli-tout

merci, mais je n utilise pas les sites pirates.

Heu l'autre ! le joueur d'heldorado qui veut pas finir en enfer !

FRANCK a écrit:Heu l'autre ! le joueur d'heldorado qui veut pas finir en enfer !

d ailleur puisque tu en parle... tu ne serais pas partant pour une partie ou deux d Helldorado? tu as des fig il me semble !

Je dois avoir ça. Envoie moi un message par la messagerie pour me communiquer ton adresse mail.

charlesetemma a écrit:merci, mais je n utilise pas les sites pirates.

En même temps, faire des scans d'un bouquin, c'est super légal !  

Je peux te faire une copie du second (4 pages), mais pas du premier. Pourquoi ? Mais parce qu'il n'y a rien qui ressemble à ce que tu demandes dans le N°40. Ce numéro contient 6 scénarii pour jdr : Anciens Mystères (pour Pendragon), la Base du Pilier (pour AD&D), Opération Orient Express (pour James Bond), le Complot (pour Trois Mousquetaires), le Frère de Sang (pour Zone) et Le Guérisseur Aveugle (aventure solo pour AD&D).

Pour ce qui est des copies, on va tenter de calmer un peu le jeu : il ne s'agit pas de copie illégale d'un ouvrage aux droits d'auteur reconnus et exploités commercialement, mais simplement d'une copie d'un extrait (4 pages sur 116) d'une revue (donc publiée une fois et à priori qui ne le sera plus jamais), et ce dans un but absolument pas commercial. La revue est parue en janvier 1992, et le scénario est de Daniel Danjean. Alors rien que pour ma culture personnelle, je serais vraiment curieux de savoir quels textes de lois définissent les possibilités de copie dans le cas présent. Je serais déjà émerveillé si seulement on pouvait me dire qui possède les droits sur ce texte aujourd'hui. Messieurs les légistes, vous avez toute mon attention.
 

Rendre dispo des revues actuellement plus dispos, pour moi ce n'est pas du piratage, c'est faire revivre une revue française (comme on en fait plus ? Pas spécialiste jdr) ! Certes, c'est un torrent, mais je ne vois pas comment retrouver de tels contenus si exhaustifs et riches autrement...
Punaise, c'est pas WD, il n'y a pas de procès en vue  

vous n allez pas nous faire des pages et des pages sur le theme '' charles t es trop nul de ne pas vouloir utiliser ce tÿpe de site'', scanner/photyocopier une partie d une oeuvre ecrite est legal ( je ne me rappel plus du pourcentage exact), le faire totalement demande l accord des aillant droit. vous faites ce que vous voulez, vous etes grands et je ne vous juges pas, je remercie Bigmaster pour sa reponse mais je prefere passer par un chemin legal.
Yves: je t envois mon adresse courriel par mp, et sinon flashing blades c est la vo de trois mousquetaires, c est donc ce scenario qui m interresse dans le numero 40

Pour info :

En droit français, avant d'utiliser, sous quelque forme que ce soit, l'oeuvre d'un auteur, il faut obtenir son autorisation ou celle de ses ayants droit. En ce qui concerne la reproduction par reprographie - la photocopie - l'expérience a montré que ni les auteurs, ni les éditeurs n'étaient en mesure de gérer individuellement leurs droits.
La loi du 3 janvier 1995, devant les dommages causés à l'édition par l'abus de cette pratique, a donc prévu que le droit de copie soit traité collectivement par les auteurs et les éditeurs au travers d'une société créée à cet effet.
Le Centre Français d'exploitation du droit de Copie (CFC), géré paritairement par les auteurs et les éditeurs, constitue depuis son agrément par le ministère de la Culture (arrêtés du 23 juillet 1996 et du 17 juillet 2001) l'unique société en France habilitée à gérer les droits de reprographie pour la presse et le livre. Une autre société, la SEAM (Société des Éditeurs et des Auteurs de Musique), a également été agréée pour les partitions de musique.
Ainsi, tout organisme effectuant des photocopies de pages de livres ou d'articles de journaux doit signer un contrat avec le CFC pour que ces reproductions soient licites.
Depuis le début de l'année 2000, tous les collèges et les lycées, publics et privés sous contrat, ont signé un contrat avec le CFC. En contrepartie, chaque établissement lui verse une redevance annuelle destinée à rémunérer les auteurs et les éditeurs des oeuvres reproduites.
C'est donc en toute légalité que vous pouvez photocopier des extraits de publications protégées (livres, journaux, revues, partitions de musique) pour les besoins de vos cours.

Quoiiiiiiiiiiii ? Un post qui troll sans moi.

De ce que je sais, tu peux photocopier en partie une œuvre mais pour ça tu dois le faire dans un établissement agrée (qui paye une taxe qui sera jamais reversé au mecs qui font le casus un peu comme cette arnaque gigantesque qu'est la sacem qui reverse du pognon à jhonny halliday quoi que tu passe comme zic). 

Bref si tu veux faire ça dans les normes (ce qui ne parait pas normal   ) il faut que tu fasses tes photocop à la corep ou autre.

Merci pour le torrent au fait je l'avais loupé celui là.

Vous croyez qu'on peut atteindre les 2 pages ? Allez un peu de courage.

Bieeeen ! Bel effort ! Sauf que . . . il faut savoir si oui ou non le texte en question "appartient" à quelqu'un (personne physique ou morale) représenté par le CFC. Si la loi ne reconnaît aucun propriétaire à un texte, le CFC ne peut rien reverser et donc ne peut rien demander.

De plus, il faut aussi tenir compte de l'âge du texte (et non de l'ouvrage) reproduit, puisqu'au bout d'un certain temps (dont je ne me rappelle plus la durée) on considère qu'un texte est tombé dans le domaine public et qu'il appartient à tout le monde. On a donc alors le droit de le reproduire à volonté. C'est ce qui permet à plusieurs éditeurs de vous vendre en même temps de nouvelles reproductions d'un même texte écrit il y a plusieurs siècles sans rien devoir à personne (vous connaissez vous les héritiers de Ronsard qui pourraient demander des droits d'auteurs ?).

Allez, je m'arrête là car j'ai mieux à faire, mais la situation est tellement complexe que plus personne ne sait dire, en dehors de textes récents, qui doit quoi à qui.

Sur ce, je m'en vais scanner les 4 pages pour Charles   

PIRATE !!!