des parties one shot pour divers JDR

Tester 40k ça me branche bien, ou alors refaire une partie de Feng Shui.

Tester 40k c'est tout à fait jouable, même si on ne parle pas du même

cher vince, pour bloopdlust, il me faut juste le peuple que tu veux jouer, ils sont decrit plus haut. Le type d'arme que tu desir pour l'incarnation de ton dieu.le reste, vu le temps qu'il me reste, je le ferais moi meme.
content de te voir parmi nous pour le 9janvier. a moins que... si c'est pour le 2eme one shot, tout depend du jeu qui sera elu...

j'avais annoncé Mars pour le 2eme one shot, helas, ma femme sera en plein concour a ce momment là, deplus j'en connais un qui sera aussi tres occupé . Donc le 2eme one shot sera pour apres ... je ne peus pas encore donner de date.
malgres tout, dites moi des maintenant le teme qui vous branche (jdr 'historique' ou 'adapation de fig'), ne vous préoccupez pas des dates pour l'instant, on essaiera d'arranger tout le monde (Utopia quand tu nous tien...)
a+

je commence a envoyer les histoires de vos persos sur vos messagerie privées.
je fait comme si Fred était des notre, donc si il ne peut pas venir, je changerais quelques details le 9janvier

voila, vous avez tous votre histoires. Une feuille de perso, plus détaillée sera fourni le jour J. Pour Pascal et Eric, a qui j'avais deja donne la feuille, il y a une petite modif: votre Arme à un pouvoir supplémentaire.
n'esitez pas a intervenir pour toutes questions.
bon courage pour la semaine , à vendredi 9 janvier.

Alors comme pouvoir sup je veux bien : "m'incarner en demi-dieu"

Bien sympa cette partie, groupe de joueurs agréable (même si on n'a toujours pas compris pourquoi l'un d'entre nous avait eu la peau peinte), un soupçon de violence, il manquait juste les filles pour Vince.
Tout celà demande une suite...

clair, on m'a parler d'esclave sescuelles et j'en ai pas vu l'ombre d'une seule

Alors, comment ça s'est fini ? La partie m'a bien plu aussi, et le concept d'avoir une arme-dieu est intéressant ; ça donne envie de jouer plus longuement pour voir l'évolution.

ils ont decouver que dans les appartements de Barnes, une peinture le representant avait le meme "défaut" au niveau de la ceinture; et qu'il etait donc le porteur du scalpel. Pascal dans sa diplomatie legendaire la frappé avant qu'il reagisse et l'a tué. Globalement les joueurs ont reussi a comprendre comment le meutre avait ete organisé: un prmier porteur possede pour preparer les Epices magiques et les deverser dans la nourritures du Piorad. Puis apres minuit (une possession par jour ca limite!) possession de l'Hysnaton pour se ballader dans les latrines, puis meutre du Piorad drogué avec une lance. Puis retoure dans sa chambre, bain pour retirer l'odeur de mer... des lattrines.
Il s n'ont pas enqueter sur la provenance de la lance. L'enquete sur le vol de l'Epice lacrimogène (comment ca peut s'ecrire ce truc?) au cuisinier Batranoban... mais sincerement, ils ont reussi trés rapidement l'enquete et je les en felicite: pour les autres scénarii je me mefirais.

Là où j'ai raté: le combat pour comprendre comment les regles fonctionne: j'aurais dù en faire un avec beaucoup moins de protagonistes, style à la sortie de l'auberge des non porteurs un peut yvres se disent qu'ils ont la possibilité de récuperer les Armes; ça aurait ete une boucherie, mais au moins ca aurait duré moins longtemps et vous auriez pu aprehender les mecanismes plus simplement.

Je suis content de voir que ca vous a plus, normalement c'est un one shot... mais pourquoi pas refaire un 2eme scenario Bloodlust la prochaine fois avec les memes Armes. Si il y a des joueurs qui ne peuvent pas venir à la date choisie, on considerera que l'Arme à changée de Porteur et on la donnera à de nouveau joueur si il y en a qui sont interressé.

J'essais de faire un resume de partie 'ici 10jours (beaucoup de travail en ce moment...).

merci d'avoir fait l'essai d'un one shot, j'ai passé une bonne soirée en votre compagnie.
a+

Y a pas eu bastons avec les morts-vivants, du coup ?

Rien du tout, on a été trop bons
Au fait on ne sait pas qui a été retenu pour être juge, ca serait intéressant.

Pour les Juges: je pense plutot que ce sera Bushman et Pascal. L'un par son debut d'enquete et l'autre par sa facon tres diplomate de resoudre les problemes (trop de candidats? slash! : un de moins.... ). Fred a refuser de boire la potion il a donc ete discalifie, et Vince a surtout (tres bien) utilise les pouvoirs de son Arme pour resoudre les difficultes hors c'etait le Porteur qui etait evalué...
Eric a accusé trop rapidement de pauvres innocents .
Mais les Juges sont escortés par des guerriers: rien n'empeche les joueurs d'integrer la Guilde des mercenaires en tant qu'escorte de Juge (c'est bien payé, et vos Armes seraient contentes d'être a nouveau reunies).
Au fait, Let-down Moon et Warm Sarkan veulent jeter le scalpel dans l'océan. Y a t il des joueurs qui veulent s'y opposer?

Pour l'evolution, par rapport a ce qu'a dit Eric dans son message: les Porteurs evoluent au cours du scenario (c'est a ca que servent les petits ronds en face de chaque competences: a chaque fois qu'il y a des jets critiques, on coche un cercle, si c'est les derrniers a etre coché, la competences augmente de 5% et on fait un petit baton en face de la caracteristique correspondante, des qu'il y a autant de baton que la valeur de caracteristique, cette derniere augmente d'un point). Je n'en est pas parlé caar je ne pensais pas que vous seriez partant pour faire d'autre ppartie.
Pour les Armes c'est par rapport a ses Desirs, ca se fait en fin de scenario car c'est comme des XP c'est long a gerer.

charlesetemma a écrit:
Eric a accusé trop rapidement de pauvres innocents .

Non, non, non. UN pôv innocent. Mon compatriote. Et il y avait une logique dans mon raisonnement. Mais je ne l'ai pas buté (alors que si ça avait été Pascal...).
D'ailleurs ça lui a mis la pression, et c'est en fouillant sa chambre qu'on a repéré la présence du beurre. Et il était pas complètement innocent puisqu'on l'a manipulé. Alors hein

charlesetemma a écrit:
Je n'en est pas parlé caar je ne pensais pas que vous seriez partant pour faire d'autre ppartie.
Pour les Armes c'est par rapport a ses Desirs, ca se fait en fin de scenario car c'est comme des XP c'est long a gerer.

Je propose, et dites moi ce que vous en pensez.
Histoire de faire un mix entre refaire un one shot et un peu d'évolution : pourquoi ne pas rejouer avec la même arme, qui aurait évolué, mais plusieurs années avant/après le scénar que l'on a joué (et donc avec un autre porteur) ?

ça pourrais être carrément sympa, pour mon perso, ce sera juste une peu plus compliquer

Sinon je suis déçut du manque de compagnie féminine, la prochaine y a intérêt a ce qu'il y ais une ptite séance de torture.

Parce que "compagnie féminine" c'est synonyme de "torture" chez toi ? Hum, ta vie sexuelle doit être très bizarre...

J'aime bien mon perso tel qu'il est donc je préfererais continuer à jouer celui là.
Le plus simple peut être c'est que ceux qui veulent changer de perso le fassent, que ceux qui aiment celui qu'ils ont actuellement le gardent comme ca tout le monde est content.
Ceux qui veulent une nouvelle arme peuvent en créer une, ceux qui veulent un nouveau porteur c'est encore plus simple, il suffit que notre mj fasse mourir le porteur actuel de l'arme et d'en créer un nouveau.
Je comprendrais que certains aient envie de voir autre chose [comme les porteurs de bouclier par exemple... ]
On doit même juste pouvoir changer certaines choses genre le type de l'arme ou des petites subtilités que tout le monde n'avait pas compris à la création de perso comme la répartition des caracs ou autres.
Une chose fait l'unanimité en tout cas, il faut recommencer.

j'ai une réputation a garder

resumé de partie en 2 (ou 3) partie. voici la premiere partie.
j'ai trouvé une suite , 20ans plus tard, apres les evenement de la campagne eclat de lune...
mais place à l'histoire, a votre histoire:

Scénario Bloodlust, tiré du fanzine « Cyclopédy » N°1, intitulé « Drumdork : Qu’est-ce que tu fais planté là ? » et rebaptisé :
Baroukof : Qu’est-ce que tu fais planté là ?

Introduction :

Je crois que cela c’est passé en 1031…. ou 1032, je ne sais plus très bien. Je m’étais enrôlé dans la milice de Bigget deux ans auparavant. J’étais depuis peu aux archives où j’officiais en qualité de scribe des quartiers sud. Ce matin là, il y avait eu une confrontation dans une auberge, entre plusieurs mercenaires Derigions et un quatuor de Piorads ivres. Le propriétaire de l’établissement réclamait la réparation des dégâts. Je me rendis donc sur la place pour officialiser la plainte. C’est au coin de la rue « Histo Sortilus » que je vis le Chagar. Il avait une énorme cicatrice allant de la base du cou jusqu’à l’oreille. J’étais sûr de l’avoir déjà vu… C’était celui de Bulwye de Byrd ! Il n’y avait que lui pour s’arrêter « au Chagar Rouge ». J’entrai sans hésiter.
Si tôt le matin, les lieux étaient quasiment déserts. Une seule table était occupée par cinq individus qui se partageaient un petit déjeuner copieux. Je reconnus aussitôt Bulwye, le Piorad Yeux de braises défenseur de la muraille nord, flanqué de Warm Sarkan sa divine hache à deux mains. Chose nouvelle par apport à la dernière fois où nous nous étions rencontré : il portait autour du coup, un collier en bronze, caractéristique des Juge de la Guilde des Mercenaires. A sa droite un Gadhar en armure de Glyptodon arborait le même collier. Devant mon étonnement, Bulwye me présenta ses quatre amis :
- Bamoko-Alto, le Gadhar qui était à sa droite, portant un maillet divin (fait en pierre lunaire de Taamish) du nom de Let-down moon ;
- Malik, un homme à la carrure de colosse à la peau blanche cadavérique et écailleuses, au regard sans pupilles, un Hysnaton mi-humain mi-monstre qui devait à n’en pas douter appartenir aux guerriers Scories qui semaient tant d’effroi sur les champs de batailles, portant un espadon divin recouvert de runes rouges palpitantes du nom de Drinker Souls ;
- Robert Ledoux, un artiste de la grande noblesse Derigionne vu ses vêtements raffinés, portant un bouclier divin arborant en son centre la tête du monstre méduse et dont le nom était Dream-Teller ;
- Kikalak, enfin, était, chose surprenante, un Thunk (banal me diriez vous, mais attendez la suite…) encore vivant à coté de Bulwye qui pourtant n’avait toujours pas décroché les trois têtes de Thunk momifiées de sa ceinture ! Kikalak appartenait au Sentinelle, des Thunks suicidaires qui combattaient les Piorads au corps à corps. Comment une telle amitié avait elle pu naitre ? Il portait une dague divine faite en mercure du nom de Wild Night.

- Assis-toi avec nous et commande quelque chose… tavernier, à boire et à manger pour notre ami ! cria Bamoko-Alto en me faisant un large sourire.
- Qu’est-ce qui vous amène à Bigget ? demandais-je à Bulwye.
- Les vacances ! coupa Robert Ledoux. Nous souhaitons nous relaxer.
- Nous avons traversé une période particulièrement éprouvante ces derniers temps. Nous étions dans le nord… le froid m’a brûlé la peau, et le sable blanc m’a glacé les os, me répondit Bamoko-Alto.
- C’est de la neige ! Quand le Thunk parlait, c’était toujours très bref.
- Pour quelle raison êtes-vous partis si loin ? questionnais-je.
- Et bien… commença Bulwye
- Combattre des morts-vivants ! s’exclama Kikalak.
Bulwye l’aurait foudroyé sur place si ses yeux avaient pu lancer des éclaires. Kikalak lui répondit par un regard noir à glacer le sang… la tension monta d’un cran.
- On n’a eu ni morts-vivants, ni femmes… c’était nul ! réplica Malik qui semblait ne pas faire attention à l’animosité entre ses deux camarades.
- Moi j’y suis allez pour devenir Juge et aider Let-down moon dans sa quête de vengeance. Et on n’a pas perdu notre temps.
- Avoir d’épiques histoires à mettre en peinture, et déjouer un complot contre nous. Et c’est mon œil d’artiste qui nous a tous sauvé ! dit posément Robert Ledoux.
- Il n’y a plus de polac farci ajouta Malik.
- SILENCE ! …il est clair que vous êtes tous incapables de relater cette histoire, bande de béotiens… c’est donc à moi, Dream-Teller le dieu érudit, qu’incombe le devoir de rapporter cette aventure.
Le bouclier s’exprimait par sa propre bouche, sa voix était douce mais implacable.


C’est ici même, à Bigget, que tout commença. Mes trois frères -Wild Night, Drinker Souls et Warm Sarkan- moi et notre père -Let-down moon- devaient s’y retrouver avant la fin du mois des conquêtes, c’est ce qui était dit dans les prophéties. Depuis vingt-sept jours, cette ville Derigion subissait les assauts répétés de l’armée Vorozion qui l’encerclait. Le matin même de nos retrouvailles, elle s’était retirée. Mes quatre parents étaient installés dans cette même auberge, le « Chagar rouge ». Des cadavres ensanglantés jonchaient les rues. Des milices se dépêchaient de les empiler dans des chariots avant que les corbeaux et les chiens n’aiment trop le goût du sang humain. Partout l’odeur des cadavres en début de décomposition… je n’étais pas encore arrivé à l’auberge, que j’avais déjà hâte de repartir. Dans ces rues je croisais deux chariots : un vide et un deuxième remplit de cinq porteurs, trois Piorads, un Vorozion et un Hysnaton.
Un vieux porteur d’Arme d’une taille imposante, au corps musculeux et sec indiquant de longues années de batailles. Un collier en bronze autour du coup le désignait comme étant un Juge. Sachant que Bamoko-Alto devait devenir Juge pour permettre notre vengeance, je l’interpelai. Il fut très content de rencontrer mon Porteur, et fut très aimable pour un Piorad. Il se nommait Tomread et portait Hells un fléau divin crépitant d’éclairs bleues.
Les autres Porteurs étaient :
- Baroukof, un sage guerrier recouvert de tatouages, portant une hache divine du nom d’Eve.
- Drumdork, l’opposé de Baroukof, un Piorad abrutie par l’alcool, à moins que ce ne soit son état naturel à prêt tout… , il était gras, sale et d’une rare stupidité. Il portait une morning star à l’esprit embrouillé particulièrement antipathique, du nom de Bull killer.
- Psilonne, un Vorozion arrogant portant une épée courte divine du nom de Judax.
- Celebi, un très jeune Hysnaton elfique rachitique portant une targe divine faites d’os et de métal, et s’appelant Poisse. J’avais déjà rencontré Poisse par le passé : une Arme gentille mais qui a toujours été annonciatrice de malchance pour son entourage. Je ne t’ai pas prévenu Robert, car je ne voulais pas t’engouasser.

Mon porteur demanda à Tomread la raison de cette étrange assemblée. Il lui annonça qu’il cherchait des Porteurs pour qu’ils deviennent Juges pour la Guilde des mercenaires. Robert Ledoux l’invita à l’auberge du « Chagar rouge » pour recruter d’autres Porteurs.

En entrant dans l’auberge, je vis que mes frères et mon père étaient là : Let-down moon était porté par Bamoko-Alto comme lorsque je les avais quitté à Pôle, Wild Night était porté par Kikalak, Drinker Souls était porté par Malik et Warm Sarkan était porté par Bulwye.
Tomread se présenta selon les usages de la noblesse et nous invita à suivre son convoi : ils allaient rejoindre d’autres Porteurs dans une des forteresses du nord pour subir des épreuves physiques et intellectuelles pour trouver les deux Porteurs qui se monteraient dignes d’être Juges.
Nous fument tous partant pour cette aventure, soit séduit par le pactole proposé (10 000Rams), soit par les bénéfices d’être Juge (10% de la valeur des contrats non respectés par les mercenaires ou les commanditaires et jugé) ou soit motivé par les divers prophéties qui avaient été annoncées aux Dieux que nous sommes et que je peux enfin révéler ici.
Wild Night a reçue d’une vieille femme à moitié folle la prédiction suivante : « Je vois quatre qui viennent d’Un. Une forteresse avec plus de monstres que se qu’on peut croire. Des Porteurs aussi. Les morts deviendront non-morts et les vivants, non-vivants. Allez au Chagar Rouge, vous permettra d’y aller. Macchiel sera là…harg, ne me tuez pas… »
Moi-même lors d’une transe, j’annonçai à Let-down moon la prophétie suivante : « par delà Bigget, où tes fils tu retrouveras, tu rencontreras sans le savoir celui qui voulu te tuer. Invisible il t’attendra. Grâce à un autre il t’atteindra. Ton Porteur, un Juge, devenir il devra »
Tout semblait donc nous indiquer qu’il fallait partir avec ce Tomread.


Le juge recruteur voyageait à travers le continent grâce à deux chariots lourds conduit par deux esclaves. Avec nous cinq il avait fini son recrutement. Il se dirigea donc vers sa destination : la forteresse des mercenaires au nord de Bigget.

Baroukof c’est révélé être un compagnon de route fort agréable et converser avec son Arme fut une délectation pour moi.
Le voyage fut juste perturbé par l’attaque d’un petit groupe de Sekeker : elles lâchèrent sur nous des hommes lobotomisés qui à moitié nues venaient mourir sur nos armes comme des vagues viennent s’écraser sur des rochers. Un concours fut lancé entre nous pour savoir laquelle en tuerait le plus. Il y eu égalité entre Wild Night et Warm Sarkan. Malgré tout Hells, qui ne voulu pas participer à notre petit jeux réussi à en tuer deux de plus.
Baroukof se faufila entre les hommes et lança sa hache divine sur une Sekeker porteuse d’une arme divine en os qui ne voulu pas se présenter. Eve crépita dans les airs et tua nette la Porteuse avant de revenir dans la main du fière Piorad. Cette mort désorganisa ainsi l’attaque des Sekekers et elles fuirent. De même, les hommes semblèrent retrouver un peu de leurs esprits et se mirent à fuir. Nous les avions repoussées.
Dans le combat, Bamoko-Alto en profita pour tuer discrètement Drumdork qui glissait à terre dans son vomie.

En remontant dans les chariots, le ton monta entre Bamoko-Alto et Psilonne. Kikalak intervint en apparaissant à une vitesse éclaire derrière le Vorozion, Wild Night sur la carotide de Psilonne. Alors que Psilonne se calmait, Bulwye tel le vent du nord qui ballait tout sur son passage, chargea le chariot où étaient Psilonne et Kikalak avec son Chagar. Warm Sarkan monta en température et devint rouge de chaleur. Kikalak se baissa à temps pour éviter la lame de la hache, qui coupa nette le coup du Vorozion. Sa tête roula au sol, deux mètre plus loin, elle ne saignait pas : la plaie était cautérisée.

Bulwye pris les deux Armes dieux dans un sac (Judax et Bull killer, car il ne savait pas que l’Arme en os était au côté de la chef Sekeker) et les plaça au dessus d’une rivière glacée.

Le reste du voyage fut plus calme. Après cinq jours, nous arrivions enfin au pied de la forteresse. Elle était magnifique : de construction raffinée, voire baroque par certain coté, elle ne pouvait qu’être Derigion. Les drapeaux qui découpaient par leurs présences les trois lunes étaient aux armoiries de la Guilde des mercenaires et à l’empire Vorozion.

to be continu...
a+

Très bien tout celà même si l'histoire fait passer Bulwye pour une brute...
On attend la fin de l'histoire même si on la connait.
Je ne savais pas que ca causait autant un bouclier, à défaut de se battre...
Comme je disais blague mise à part j'aimerais bien garder mon perso en tout cas, même 20 ans après, je m'y suis attaché à c'te p'tite bête.

Super !!!!

excellent sérieux.

Par contre je sais que j'ai pas trop leçon a donner en orthographe mais engouasser m'a sauter aux yeux.

merci Vince, je vais corriger mon texte... mais le plus surprenant c'est que mon correcteur d'orthographe (qui a la vie tres dure avec moi) n'a rien détecté.

Voila la partie 2, je pense qu'une 3eme partie sera suffisante pour narrer la fin de l'aventure.
Je tiens a signaler que mon travail ne consiste qu'a adapter le super scenario du fanzine Cyclopedy aux évenements vécu par vos perso.

Bonne lecture...


C’est donc sous la neige que le château d’Upstone nous accueillit. A la vue du majestueux bâtiment, Robert Ledoux s’imaginait déjà installé avec son ami Bamoko-Alto, près d’un feu, devant une table recouverte de riches victuailles.
Après une monté assez rude pour les chevaux qui trainaient les deux chariots, nous attendions devant une herse, qu’on nous ouvre.
Une fois dans la place, nous fûmes accueillit par le maître des lieux : Sir Barnes. C’était un Vorozion richement vêtu et dont le ventre légèrement rebondi indiquait une vie paisible, à l’abri des dangers et du besoin. Chacun des Porteurs d’Arme fut conduit à sa chambre par Sir Barnes lui-même. Il avait dés le premier regard, décidé de quelle chambre nous devions chacun hérité pour ce séjour. Les Thunks et les Piorads furent dans deux couloirs différents, les Gadhars eurent les chambres prés des Juges, les Hysnatons, selon leur beauté naturelle furent mis soit à l’écart, soit au centre des chambres, et enfin, les Vorozions et Derigions eurent les chambres les plus confortables. Il n’y avait aucun Batranoban parmi les postulants au titre de Juge.
Les chambres étaient confortables : un trou était percé dans un renforcement pour faire les besoins les plus naturels, un tabouret, une table avec une cruche de siffan et un verre étaient disposés dans un coin, quelques meubles pour mettre du linge et enfin un vrai lit rembourré en poils de polac.
Après quelques instants, le temps de nous préparer, un domestique nous convia à un banquet de bienvenue.
Pour atteindre la salle de banquet, nous traversâmes une grande pièce contenant deux magnifiques tapisseries. Malik se rendit compte qu’une des tapisseries représentait Drinker Souls et Let-down moon dans une bataille contre une hache divine. Vu que l’action correspondait à un combat entre des elfes et des orcs, la tapisserie ne pouvait avoir été faite que par un Dieu qui y avait participé. Drinker Souls et Let-down moon avaient bien combattu les elfes en étant au coté des orcs, mais ni mon père, ni mon frère n’avaient participé à la conception de cette tapisserie. C’était étrange... Sachant que Macchiel y avait aussi participé en tant qu’allié des orcs, elle était peut être une habituée des lieux. En regardant de plus prêt, et grâce à son œil de peintre professionnel, mon génial Porteur se rendis compte que la tunique au niveau de la ceinture du porteur de la hache avait un défaut. Les plis ne tombaient pas bien, comme si quelque chose de petit y était, tout en restant invisible. Surement une Arme divine mégalomane qui voulait montrer qu’elle était présente tout en restant dans l’ombre.


Les tables, dans la salle de banquet, avaient été disposé pour que chaque invité puisse se servir tout seul : c’était un buffet comme c’est encore la mode actuellement à Pôle.
Dans la salle, l’ambiance était tendue. Nous étions les derniers. Tous les participants au tournoi étaient déjà présents. En attendant l’heure du repas, les hommes sirotaient quelques breuvages alcoolisés. Il y avait cinq nouveaux couples parmi les treize Porteurs présents : deux Gadhars, Mamadou qui était assez effacé et sa hache Vigile, et Karamoko un géant qui dépassait même Malik d’une demi-tête et sa masse d’arme Dumkro ; un Thunk maître loup du nom de Maïhïc et sa dague Stamp ; deux nobles, Calimeros un Derigion porteur de la lance Filis, et Demetrios un érudit Vorozion porteur de Dread son épée longue. Nous nous observions…lorsque les trois Juges responsables du recrutement firent leur entrée accompagné de Sir Barnes. Les Juges étaient tous les trois des Piorads.
Le premier, légèrement en avant, portait un glaive divin du nom d’Implacable. Il se présenta comme étant Klesilor, Juge responsable de la bonne discipline dans le château.
En second venait Tomread qui avait fait le voyage avec nous. Il se désigna comme étant le Juge qui s’occuperait de nos envies dans le château.
Enfin, le dernier s’appelait Warson. Il était armé d’un espadon-dieu nommé Kipcool. Il s’occupait de maintenir la bonne entente entre les participants.
Ils s’avancèrent tous les trois au centre de la pièce en escortant Sir Barnes, et le premier prit la parole.
- Messieurs dit-il, si vous voulez bien m’accorder quelques instants…Je tiens à clarifier quelques points. Vous avez été sélectionnés car vous possédez les compétences que requièrent les obligations d’un Juge. Durant votre séjour, vous allez être confrontés à de nombreuses situations. Un scribe vous suivra en permanence et toutes vos réactions seront rapportées et analysées. Les deux gagnants du tournoi seront ceux qui auront obtenu les meilleures performances. Les épreuves s’étendent sur une période d’une semaine. Vous pouvez être testé à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit. Pendant ce laps de temps, il vous sera interdit de vous battre en dehors de l’arène qui se situe au sous-sol. Un dernier détail, mais qui est important : pendant toute la durée des épreuves, vous ne serez pas en mesure d’utiliser vos Armes-Dieux dont la puissance et l’intelligence n’est plus à prouver. Le seigneur du château a fait préparer par son cuisinier Batranoban des Epices qui les rendra inutilisables. C’est sans danger et l’effet ne dure qu’une semaine. On vous donnera une flasque scellée comme celle là, il montra alors un petit récipient qui pendait à une ficelle autour de son coup, qui contient un antidote. Vous pouvez le boire à tout moment, mais dans ce cas vous perdez automatiquement le tournoi. Si vous voulez revenir sur votre décision, c’est maintenant ou jamais ! Mais souvenez-vous : la prime est de 10 000Rams et vous gagnez le statu de Juge de la guilde des mercenaires.

J’étais fou de rage ! Heureusement, mon cher Porteur Robert Ledoux a refusé de se couper de moi, même pour une semaine. Nous fûmes donc disqualifiés pour le statu de Juge, mais au moins nous restions ensemble.
- Oui, nous avons failli prendre le chemin du retour le soir même dit Bulwye.
- Il n’y avait plus un bruit dans la salle, tout le monde s’observait, ajouta Malik.
- Nous, ont n’a pas eu peur. Wild Night a confiance en moi ! dit sèchement Kikalak.
- Je peux continuer mon histoire ! repris Dream-Teller d’un ton tout aussi sec.
La tension avait fait place à la perplexité. La perspective d’une séparation n’enchantait ni les Armes ni les Porteurs. Klesilor nous fit une démonstration de l’effet de la potion et de l’antidote sur lui-même. Quoi qu’il leur en coûta, tous les participant, à l’exception de Robert Ledoux et de Calimeros, choisir de boire la potion du seigneur des lieux. Les Juges se retirèrent à l’exception de Tomread, après nous avoir distribué à chacun la flasque contenant l’antidote. Les postulants semblaient désorientés, ils avaient pris l’habitude d’entendre leurs divines armes s’exprimer dans leurs esprits et tout d’un coup ils étaient seuls.


Le banquet était plantureux et la soirée aurait pu être agréable sans la dispute qui éclata entre le sage Baroukof d’un coté et Karamoko et Maïhïc de l’autre. Sans l’intervention de Bamoko-Alto et de Tomread, des têtes auraient roulées sous la table. La petite fête tourna court, et chacun regagna sa chambre, accompagné d’un garde. Les chambres étaient verrouillées de l’extérieur. Un garde était planté devant chacune d’elles, prêt à satisfaire les exigences de chaque hôte. Soudain, un hurlement effroyable déchira la nuit. « Haaa….rg !, harg !, .... harg !,.....har…g. ». C’était à n’en pas douter, un cri d’agonie. Je sentis un frisson parcourir l’échine de Robert. Le cri dura plusieurs minutes, puis, lentement, déclina jusqu’à devenir un râle… un gargouillement. Puis, plus rien. Dans le couloir, le calme de la nuit avait fait place à un remue-ménage indescriptible. Les soldats couraient, les scribes hurlaient, les gradés grondaient des ordres à qui voulait les entendre. Robert essayait, en vain, d’en apprendre d’avantage par le judas de sa porte, ordonnant au soldat en faction de lui ouvrir. Ce n’est qu’au bout de précieuses minutes que celui-ci s’exécuta.
Au fond du couloir, un attroupement s’était formé devant la chambre de Baroukof. Lorsque Robert arriva, Klésilor essayait d’ouvrir la porte en vain. La porte était bloquée de l’intérieure et de la fumée verte sortait du dessous de porte.
Bulwye commença à entamer la porte avec sa hache. Malik fini de la défoncer à coup d’épaule. Puis il bondit à l’intérieur de la chambre tandis qu’un épais nuage de fumée verte s’en échappait. Tous nous avions eu la présence d’esprit de nous mettre de coté pour éviter les effet de ce gaz … il fallait bien un dégénéré d’Hysnaton pour foncer ainsi la tête baisser. Il ressorti les yeux en pleur.
- Qu’as-tu vu Malik ?
- Un spectacle horrible… Baroukof git mort sur son lit, ses deux mains crispées sur le manche de la lance qui le traverse de part en part. L’assassin doit avoir une force surhumaine pour transpercer à la fois le Piorad, le matelas, et figer la pointe de plusieurs pouces dans la dalle du plancher.
- Je fais ça tous les jours si je veux ! se vanta Bulwye.
- Y avait-il quelqu’un dans la pièce ? questionnais-je à nouveau.
- Personne dit Bamoko-Alto.
- Pas de trace du tueur ? Mais par où pouvait il s’enfuir ? C’est impossible !
Tous autour de la table éclatèrent de rire devant mon incompréhension. Dream-Teller n’avait pas l’habitude de mentir ou de plaisanter… pourtant son récit me paraissait à ce moment là complètement irréaliste. Je renchérissait :
Comment a-t-il fait ?
- Ca petit gars, on a mis longtemps pour le savoir dit le Derigion.
- Expliquez-moi que diable ! et dites-moi d’où venait la fumée ?
- La fumée s’échappait d’un Epice en combustion, posé à même le sol. Lorsque je l’ai respiré, cela m’a piqué les yeux et brûlé les poumons. J’ai mis du temps à m’en remettre expliqua Malik. Cependant, j’ai tout de suite remarqué qu’il y avait de l’eau au sol : le seau en bois, présent dans toutes les chambres, avais été fracassé. Le casque de Baroukof avait été jeté dans un des coins de la pièce et une chaise avait servi à bloquer la porte.
- Hum, bizarre ! dis-je. Je comprend pas les liens entre tous ça.
- Laissez-MOI lui expliquer le déroulement du crime, reprit Dream-Teller :
Lorsque nous avons visité le lieu du crime, nous avons tous eu la même réaction que toi.
Klesilor et Tomread parlèrent entre eux, puis nous annoncèrent que le tournoi était suspendu, et que donc tout le monde pouvait boire l’anti-dote. Les deux personnes qui trouveraient les clefs du mystère, ainsi que l’identité du tueur, seraient promu Juge. Enfin, sur un ton plus ferme, Tomread dit que personne ne serait autorisé à quitter le château tant que cette affaire ne serait pas réglé.

PS (non ce n'est pas le partie socialiste): En me relisant je me rend compte que j'ai oublié de signaler que Bulwye a été voir le forgeron, qu'il a aussi mis la pagaille dans la défense du chateau en encourageant la désertion (en signalant l'emplacement des 2 Armes dieux sur la neige).
Quand à Robert, il a aussi fait son petit tour, mais ma memoire me fait defaut: je ne me rapel plus ce qu'il a fait... ca doit etre l'age...

PS le retour: En réponse à Bushman qui trouve Bulwye bourin dans les descriptions que j'en donne: oui c'est vrai! mais quelqu'un qui fait 80 points de dégâts! en 1coup!!!! dans un univers ou le nombre de point de vie moyen est de 20 (32 pour un Piorad survitaminé), moi j'appel ça un bourin (limite Gros Bill en fait )

a+ et bon jeu

80 pts de dégats, tu me prends pour une chochotte ou quoi, c'était 90