Qui est en ligne ?
Il y a en tout 17 utilisateurs en ligne :: 0 Enregistré, 0 Invisible et 17 Invités :: 2 Moteurs de rechercheAucun
Le record du nombre d'utilisateurs en ligne est de 170 le Jeu 25 Jan - 21:03
Statistiques
Nous avons 18 membres enregistrésL'utilisateur enregistré le plus récent est Tuco
Nos membres ont posté un total de 46442 messages dans 5398 sujets
Apocalypse World résumé
2 participants
Page 1 sur 1
Apocalypse World résumé
Voilà c’est l’histoire de Jacky, le chef des White Templars, un putain groupe de bikers bien organisés qui croise la route de Wale, un céphale bizarroïde – bon ok ils sont tous bizarroïdes, mais lui il a un putain de regard flippant. Il a obligé Jacky à piler devant lui ; le regard sauvage du rider indompté a croisé celui complètement fou d’un chaos abstrait du grand dégingandé, et Jacky l’a embarqué sur sa moto. Cet étrange équipage venu du Nord croise quelques temps plus tard un équipage aussi improbable, celui de la secte de Chacal ; un mystique complètement allumé, délirant et saturé de psychotropes, prônant la liberté de l’esprit par la came et le sexe, avec dans son groupe la plus bonnasse des bombes sexuelles jamais vues, Rouge et son déplacement hypnotique à rollers, le regard happé par ses formes dénudées et le balancement de ses chaînes… mortelles. Les deux chefs de groupes ne pouvaient que s’entendre, l’un apportant la protection et l’autre les plaisirs. Quand Max la machiniste - dont l’obsession est d’utiliser la technologie à travers le Maëlstrom - et son acolyte Doc le Mab -un ange gardien au regard cinglé qui étudie les bouleversements issus de l’Apocalypse - voyageant tous les deux dans leurs vans, s’adjoignent à ce groupe, moi j’vous dis c’est de l’inéluctabilité. C’était écrit quelque part dans ce putain de Maëlstrom. Bref, la légende est en marche, et pas qu’un peu.
Toute cette troupe, fuyant les masses nuageuses et poussiéreuses du Nord - qui isolent le soleil de la terre et rend tout stérile sur son passage - se sédentarise deux saisons parmi les résineux de Dieppé, un village en bord de falaise, caché dans une forêt d’arbres et de chaînes. Cependant, la ténébreuse nuée de nuages ne tarde pas à les rejoindre. Après une saison à vivre sur les réserves de l’année passée, la seconde saison ne donne aucune récolte. La disette frappe et les faibles meurent, logique implacable d’une mère Nature déjà fortement malmenée. Lorsque Jack, Le Chacal et les autres personnalités dominantes du groupe se retrouvent avec Dremmer le chef de Dieppé, et que le compte des morts est fait, que chacun se pose la question de quand il a vu pour la dernière fois le soleil, et que cette journée une saloperie de pluie noire de poussières tombe sur la communauté, chacun se dit qu’il faut faire quelque chose et se tirer les doigts du cul pour survivre. Jacky parle de trouver la source, et Chacal entre dans une transe mystique sur l’origine de la masse nuageuse, et que ouais, putain, il faut faire là ce soir une grande communion pour qu’il entre en transe et guide ses fidèles. Dremmer se laisse convaincre quand Chacal lui affirme qu’il y a pas de soucis pour qu’il tente de se faire Rouge, vas-y gars, tente ta chance lui dit-il. Habitués à ses cérémonies, les autres sentent quand même venir l’orgie bordélique, mais bon ils connaissent leur compère. Max préfère s’isoler et bosser sur la parabole satellite qu’il a récupéré et voir ce qu’il aurait besoin de trouver s’ils se mettent à voyager. Doc Mab commence de son côté à analyser la pluie noirâtre mais son assistant Groucho prend le liquide pour du café et se retrouve avec une chiasse monstrueuse et des coulées de sang abondantes ; Doc le stabilise mais le pôv gars est HS pour une semaine et le second assistant Chico doit le veiller non-stop durant 36h, ce qui va lui faire rater l’orgie… euh la cérémonie, et en plus Groucho va lâcher des caisses nausébondes pendant 48 putain de longues heures fétides.
Le soir, la communauté se retrouve devant Chacal qui a préparé une mixture avec les mousses hallucinogènes séchées qui poussaient encore sur les arbres la saison passée… Et pour les autres ingrédients, personne ne veut savoir, et tout le monde suit le prophète qui avale sa louchée cul sec. Et là… Et là… Chacal entre dans une méga transe où son esprit perfore le Maëlstrom, il s’éloigne de son corps et atteint une hauteur improbablement vertigineuse où les pays ressemblent aux cartes que Doc Mab lui a montrées ; au Nord une masse tourbillonnante ténébreuse se déroule vers le Sud, manipulée par un marionnettiste invisible camouflé dans les abîmes de l’espace, tandis qu’au Sud une onde de pureté semble tenter de retenir et repousser les nuages maléfiques. Wale, quand à lui, ouvre son cerveau que le Maelstrom guide vers un village aux remparts de bois où les gens transportent des brouettées de patates. Bon ça, c’est pour ceux qui s’en sortent bien. Car Rouge, tellement shootée, ne voit pas Dremmer comme un édenté manchot qui bave dans sa barbe mais comme le bel homme qu’il a été et elle le laisse pénétrer ce corps de déesse d’impératrice du cul. Jacky et ses bikers partent totalement en vrille, et ils voient dans un mur de briques rouges le stade ultime du défi parthouséen sexuel, et les voilà partis à fourrer leurs membres dans les interstices et à faire… hum, ben, de la terre battue. Le summum est atteint lorsque Chacal, tentant de chauffer Max, se fait envoyer paître et dire d’aller se faire foutre à poil et faire le piou piou ailleurs. Pris d’une illumination, les disciples et les villageois se déshabillent et font la poule sur la place centrale avant d’entamer une orgie déjantée où hommes, femmes, vieux, enfants, briques et bikers vont se mélanger.
Au matin, tout le monde se sent un peu honteux. Jacky, le membre rouge de sang et de brique, organise le départ. Dremmer est en extase mais redescend vite sur terre quand Rouge reprend ses esprits et l’humilie devant tout le village. Les habitants restent cloîtrés chez eux et évitent de repenser à ce qui a pu arriver aux enfants. L’espoir et la colère cohabitent en voyant le groupe s’éloigné, espoir d’un avenir meilleur et colère d’avoir maltraité encore plus la jeunesse rescapée de la disette. Inutile de dire que les bikers, en franchissant les portes de Dieppé, préfèrent détourner les yeux des plus jeunes enfants jouant à la pâte à modeler avec une mixture de briques rouges et de foutre…
Le camp itinérant reprend alors un nouveau départ vers le Sud, croisant quelques groupes ayant décidé également de tenter leurs chances mais qui se montrent plutôt hostiles à la discussion. Néanmoins, le nombre et l’armement faisant force de loi, c’est sans encombre qu’ils avalent les kilomètres, jusqu’à faire une pause pour la nuit. Enfin la nuit, façon de parler car la pénombre est telle qu’il est difficile de faire la différence entre la semi obscurité du jour et la nuit. Sans compter les incessantes pluies de poussière noire et le vent froid qui balaie les plaines. Des tours de garde s’instaurent parmi les bikers alors que Max découvre une antenne reliée à un ordinateur qu’elle pourrait arriver à réparer. Elle tente d’expliquer des notions d’électronique à Chacal, qui est en extase devant les capacités de la Machiniste et se prend un trip de plein fouet dès qu’elle prononce « électronique » ou « composant », mais qui, il faut bien le dire, ne bite pas un mot de tout ce charabia. Du coup, le prophète envoie Rouge pour essayer d’obtenir une explication plus claire, mais au final cela se terminera en trip lesbien entre la magnifique beauté fatale et la machiniste.
Le lendemain, Doc Mab constate que les bikers et les autres personnes ayant eu des parties de leurs corps exposées de manière prolongée aux pluies de poussières ont des irritations importantes. La seule exception c’est Rouge, qui pourtant se trimballe à moitié nue en faisant du ski roller derrière le chopper de Jacky (et oui, seul Jacky a le privilège de pouvoir coucher avec Rouge, certains autres bikers ayant perdu une phalange à ne serait-ce que tenter un petit plotage de fesses). La communauté itinérante repart de plus belle, et des montagnes semblent se profiler au loin. Les routes en lacet mal entretenues deviennent vite un calvaire. Le bus surchauffe et les motos galèrent. Les fidèles de Chacal descendent et aident les motards à pousser leurs bécanes. Autour d’eux, le silence glaçant laisse la place à de faibles cliquetis, qui paraissent assourdissants tellement le groupe s’est habitué depuis deux saisons à vivre dans une forêt que les animaux ont délaissé. Max allume ses projos mais des coups de feu partent et dézinguent les lumières. Les fidèles et bikers se replient en suivant Rouge vers le fossé opposé. Jacky ne tremble pas et au milieu des balles, d’une voix de stentor portée la bise glaciale, il hurle d’abandonner ou de subir la colère des White Templars. Wale et Doc Mab se prennent une bonne rafale, et le van y laisse ses pneus. Chacal cherche les assaillants de sa lampe torche tandis qu’un des bikers de Jacky balance une grenade, y laissant au passage sa main. La grenade fait mouche et les agresseurs se replient. Rouge, profitant des rayons de la lampe torche de Chacal, allume de son fusil sniper un des assaillants en fuite ; elle s’empresse de venir l’interroger mais l’homme ne dit rien malgré un tabassage en règle ; Wale tente un toucher avec ses gants de profondeur, mais l’homme trop blessé décèdera de ce contact mental. Dans tout ça l’essieu du van de Doc Mab est foutu. Max, HS de sa nuit précédente à bosser et coucher, ne peut s’en occuper ; toutefois, Doc Mab propose de récupérer l’adrénaline dans le cerveau des victimes grâce à une seringue high tech de sa confection et de lui injecter ; la machiniste accepte, bosse toute la nuit, et si elle ne peut réparer l’essieu elle trouve le moyen que le véhicule soit tracté par son van, puis elle s’écroule d’un coup. La nuit se passe plutôt bien, les bikers font des gardes ou couche avec les disciples qui se défoncent, Doc Mab rate son imposition des mains et avoue dans un délire qu’il est puceau avant d’amputer le biker, Rouge suce Jacky et Wale manipule mentalement une Max inconsciente. Une nuit tranquille quoi.
Le lendemain, la montée prend fin, et dans une plaine balayée par des vents violents, le groupe de vagabonds découvre la cité en bois des rêves de Wale. Un village engoncé le long de la montagne, encerclé de remparts en bois et de fossés hérissés de pieux, ainsi que deux tourelles laissant entrapercevoir des sulfateuses. Des émissaires sortent de la ville à moto, et Jacky et Wale partent à leur rencontre. Le céphale ne voit en eux que des hommes sincères, mal à l’aise avec les armes et cherchant une aide. Un compromis est vite facile à trouver car les hommes les ayant agressé la veille - les caverneux dixit Lambroi et Fusible les émissaires – se montrent très agressifs depuis deux saisons que le nuage noir surplombe la vallée. Ils ont détruit leurs ruches et empiété sur leurs terres de chasse, et même enlevé des adolescentes et des gamines du village, dont une fillette de 10 ans dernièrement. En échange de récupérer leurs jeunes, les agriculteurs – c’est ainsi qu’ils se nomment – leur fourniront de l’aide pour réparer leur véhicule (Fusible est un excellent mécano expert en armes), de l’essence, de l’eau potable et des pommes de terre.
Toute cette troupe, fuyant les masses nuageuses et poussiéreuses du Nord - qui isolent le soleil de la terre et rend tout stérile sur son passage - se sédentarise deux saisons parmi les résineux de Dieppé, un village en bord de falaise, caché dans une forêt d’arbres et de chaînes. Cependant, la ténébreuse nuée de nuages ne tarde pas à les rejoindre. Après une saison à vivre sur les réserves de l’année passée, la seconde saison ne donne aucune récolte. La disette frappe et les faibles meurent, logique implacable d’une mère Nature déjà fortement malmenée. Lorsque Jack, Le Chacal et les autres personnalités dominantes du groupe se retrouvent avec Dremmer le chef de Dieppé, et que le compte des morts est fait, que chacun se pose la question de quand il a vu pour la dernière fois le soleil, et que cette journée une saloperie de pluie noire de poussières tombe sur la communauté, chacun se dit qu’il faut faire quelque chose et se tirer les doigts du cul pour survivre. Jacky parle de trouver la source, et Chacal entre dans une transe mystique sur l’origine de la masse nuageuse, et que ouais, putain, il faut faire là ce soir une grande communion pour qu’il entre en transe et guide ses fidèles. Dremmer se laisse convaincre quand Chacal lui affirme qu’il y a pas de soucis pour qu’il tente de se faire Rouge, vas-y gars, tente ta chance lui dit-il. Habitués à ses cérémonies, les autres sentent quand même venir l’orgie bordélique, mais bon ils connaissent leur compère. Max préfère s’isoler et bosser sur la parabole satellite qu’il a récupéré et voir ce qu’il aurait besoin de trouver s’ils se mettent à voyager. Doc Mab commence de son côté à analyser la pluie noirâtre mais son assistant Groucho prend le liquide pour du café et se retrouve avec une chiasse monstrueuse et des coulées de sang abondantes ; Doc le stabilise mais le pôv gars est HS pour une semaine et le second assistant Chico doit le veiller non-stop durant 36h, ce qui va lui faire rater l’orgie… euh la cérémonie, et en plus Groucho va lâcher des caisses nausébondes pendant 48 putain de longues heures fétides.
Le soir, la communauté se retrouve devant Chacal qui a préparé une mixture avec les mousses hallucinogènes séchées qui poussaient encore sur les arbres la saison passée… Et pour les autres ingrédients, personne ne veut savoir, et tout le monde suit le prophète qui avale sa louchée cul sec. Et là… Et là… Chacal entre dans une méga transe où son esprit perfore le Maëlstrom, il s’éloigne de son corps et atteint une hauteur improbablement vertigineuse où les pays ressemblent aux cartes que Doc Mab lui a montrées ; au Nord une masse tourbillonnante ténébreuse se déroule vers le Sud, manipulée par un marionnettiste invisible camouflé dans les abîmes de l’espace, tandis qu’au Sud une onde de pureté semble tenter de retenir et repousser les nuages maléfiques. Wale, quand à lui, ouvre son cerveau que le Maelstrom guide vers un village aux remparts de bois où les gens transportent des brouettées de patates. Bon ça, c’est pour ceux qui s’en sortent bien. Car Rouge, tellement shootée, ne voit pas Dremmer comme un édenté manchot qui bave dans sa barbe mais comme le bel homme qu’il a été et elle le laisse pénétrer ce corps de déesse d’impératrice du cul. Jacky et ses bikers partent totalement en vrille, et ils voient dans un mur de briques rouges le stade ultime du défi parthouséen sexuel, et les voilà partis à fourrer leurs membres dans les interstices et à faire… hum, ben, de la terre battue. Le summum est atteint lorsque Chacal, tentant de chauffer Max, se fait envoyer paître et dire d’aller se faire foutre à poil et faire le piou piou ailleurs. Pris d’une illumination, les disciples et les villageois se déshabillent et font la poule sur la place centrale avant d’entamer une orgie déjantée où hommes, femmes, vieux, enfants, briques et bikers vont se mélanger.
Au matin, tout le monde se sent un peu honteux. Jacky, le membre rouge de sang et de brique, organise le départ. Dremmer est en extase mais redescend vite sur terre quand Rouge reprend ses esprits et l’humilie devant tout le village. Les habitants restent cloîtrés chez eux et évitent de repenser à ce qui a pu arriver aux enfants. L’espoir et la colère cohabitent en voyant le groupe s’éloigné, espoir d’un avenir meilleur et colère d’avoir maltraité encore plus la jeunesse rescapée de la disette. Inutile de dire que les bikers, en franchissant les portes de Dieppé, préfèrent détourner les yeux des plus jeunes enfants jouant à la pâte à modeler avec une mixture de briques rouges et de foutre…
Le camp itinérant reprend alors un nouveau départ vers le Sud, croisant quelques groupes ayant décidé également de tenter leurs chances mais qui se montrent plutôt hostiles à la discussion. Néanmoins, le nombre et l’armement faisant force de loi, c’est sans encombre qu’ils avalent les kilomètres, jusqu’à faire une pause pour la nuit. Enfin la nuit, façon de parler car la pénombre est telle qu’il est difficile de faire la différence entre la semi obscurité du jour et la nuit. Sans compter les incessantes pluies de poussière noire et le vent froid qui balaie les plaines. Des tours de garde s’instaurent parmi les bikers alors que Max découvre une antenne reliée à un ordinateur qu’elle pourrait arriver à réparer. Elle tente d’expliquer des notions d’électronique à Chacal, qui est en extase devant les capacités de la Machiniste et se prend un trip de plein fouet dès qu’elle prononce « électronique » ou « composant », mais qui, il faut bien le dire, ne bite pas un mot de tout ce charabia. Du coup, le prophète envoie Rouge pour essayer d’obtenir une explication plus claire, mais au final cela se terminera en trip lesbien entre la magnifique beauté fatale et la machiniste.
Le lendemain, Doc Mab constate que les bikers et les autres personnes ayant eu des parties de leurs corps exposées de manière prolongée aux pluies de poussières ont des irritations importantes. La seule exception c’est Rouge, qui pourtant se trimballe à moitié nue en faisant du ski roller derrière le chopper de Jacky (et oui, seul Jacky a le privilège de pouvoir coucher avec Rouge, certains autres bikers ayant perdu une phalange à ne serait-ce que tenter un petit plotage de fesses). La communauté itinérante repart de plus belle, et des montagnes semblent se profiler au loin. Les routes en lacet mal entretenues deviennent vite un calvaire. Le bus surchauffe et les motos galèrent. Les fidèles de Chacal descendent et aident les motards à pousser leurs bécanes. Autour d’eux, le silence glaçant laisse la place à de faibles cliquetis, qui paraissent assourdissants tellement le groupe s’est habitué depuis deux saisons à vivre dans une forêt que les animaux ont délaissé. Max allume ses projos mais des coups de feu partent et dézinguent les lumières. Les fidèles et bikers se replient en suivant Rouge vers le fossé opposé. Jacky ne tremble pas et au milieu des balles, d’une voix de stentor portée la bise glaciale, il hurle d’abandonner ou de subir la colère des White Templars. Wale et Doc Mab se prennent une bonne rafale, et le van y laisse ses pneus. Chacal cherche les assaillants de sa lampe torche tandis qu’un des bikers de Jacky balance une grenade, y laissant au passage sa main. La grenade fait mouche et les agresseurs se replient. Rouge, profitant des rayons de la lampe torche de Chacal, allume de son fusil sniper un des assaillants en fuite ; elle s’empresse de venir l’interroger mais l’homme ne dit rien malgré un tabassage en règle ; Wale tente un toucher avec ses gants de profondeur, mais l’homme trop blessé décèdera de ce contact mental. Dans tout ça l’essieu du van de Doc Mab est foutu. Max, HS de sa nuit précédente à bosser et coucher, ne peut s’en occuper ; toutefois, Doc Mab propose de récupérer l’adrénaline dans le cerveau des victimes grâce à une seringue high tech de sa confection et de lui injecter ; la machiniste accepte, bosse toute la nuit, et si elle ne peut réparer l’essieu elle trouve le moyen que le véhicule soit tracté par son van, puis elle s’écroule d’un coup. La nuit se passe plutôt bien, les bikers font des gardes ou couche avec les disciples qui se défoncent, Doc Mab rate son imposition des mains et avoue dans un délire qu’il est puceau avant d’amputer le biker, Rouge suce Jacky et Wale manipule mentalement une Max inconsciente. Une nuit tranquille quoi.
Le lendemain, la montée prend fin, et dans une plaine balayée par des vents violents, le groupe de vagabonds découvre la cité en bois des rêves de Wale. Un village engoncé le long de la montagne, encerclé de remparts en bois et de fossés hérissés de pieux, ainsi que deux tourelles laissant entrapercevoir des sulfateuses. Des émissaires sortent de la ville à moto, et Jacky et Wale partent à leur rencontre. Le céphale ne voit en eux que des hommes sincères, mal à l’aise avec les armes et cherchant une aide. Un compromis est vite facile à trouver car les hommes les ayant agressé la veille - les caverneux dixit Lambroi et Fusible les émissaires – se montrent très agressifs depuis deux saisons que le nuage noir surplombe la vallée. Ils ont détruit leurs ruches et empiété sur leurs terres de chasse, et même enlevé des adolescentes et des gamines du village, dont une fillette de 10 ans dernièrement. En échange de récupérer leurs jeunes, les agriculteurs – c’est ainsi qu’ils se nomment – leur fourniront de l’aide pour réparer leur véhicule (Fusible est un excellent mécano expert en armes), de l’essence, de l’eau potable et des pommes de terre.
Eric- Niveau 7
- Nombre de messages : 3874
Age : 43
Prénom (valide requis) : Eric
Date d'inscription : 30/07/2008
Re: Apocalypse World résumé
Voilà c’est l’histoire de Jacky,
J'approuve ce résumé encore plus
J'approuve ce résumé encore plus
darma- Niveau 6
- Nombre de messages : 2538
Prénom (valide requis) : Vincent
Date d'inscription : 03/09/2009
Re: Apocalypse World résumé
Voilà donc la bande qui rentre le bus et les motos dans la grande tranchée devant le village, une bien belle tranchée dont l’autocar, avec ses trous dans la carlingue laissant échapper des fumées chargées de psychotropes, dépasse à peine. A leur grand étonnement ils y découvrent un type discutant avec ses bagnoles dont une ambulance blindée surmontée d’un lance-grenade. Chacal reconnaît là Katkat, un passeur qu’il a fréquenté quelques années auparavant, et qui lui aussi a subi une volée de balles des caverneux ; mais pas de chance, le second pilote y a pris une balle perdue. Jacky décide de s’occuper de l’organisation du camp, dans un froid de plus en plus glacial. Lambroi, le chef du village, les invite à manger chez lui tandis que Fusible va commencer à s’occuper du véhicule de Doc Mab ; d’ailleurs celui-ci commence à faire des tests sur le sang de Rouge pour essayer de comprendre pourquoi son épiderme ne réagit pas à la pluie de poussière noire.
Chez Lambroi le repas passe très vite du convivial tendu, où le chef du village et ses fils ignorent leur femme et mère en n’ayant d’yeux que pour Rouge, au grand n’importe quoi lorsque le plat de pommes de terre se retrouve accompagné de champignons hallucinogènes et d’un alcool ultra agressif. Max, qui s’est reveillée aveugle de son trip à l’adrénaline, retrouve petit à petit la vue pour contempler Max et Wale front contre front en transe sur un délire de fleuve et voie ferrée en spirale, ainsi qu’une Rouge bouffant des patates en encourageant la femme du chef en train de se faire prendre à même le sol par son mari et Katkat en même temps. Des fois, la cécité ça a du bon.
Le lendemain c’est dans une ambiance de gueule de bois dubitative, sous une neige noire et visqueuse, que le groupe se met en marche vers la mine des caverneux. Parce que ok, ils ont dit qu’ils iraient récupérer les filles du village en échange de pommes de terre ; mais bon, ça reste un village isolé de ploucs flippés bas du front, et en face y a des types armés cachés dans une mine qu’on sait pas trop à quoi ça ressemble. Et y en a comme Wale qui se demande, quand même, si le deal contre des patates c’est bien équitable. Enfin bref, ça rechigne, ça regimbe, ça grogne, ça maugrée sous ces putains de flocons noirauds, et puis ça caille comme dans le cul d’un mort, et puis cette connasse de Rouge qui s’éclate à se faire traîner par deux bikers contre une demie pipe pour deux, insensible au froid et à la neige qui tombe sur sa peau. Mais quelle salope !!!!! Lorsqu’ils entrent dans la forêt, la salope en question est déjà partie en repérage, ni vue ni connue, tandis que les autres se questionnent toujours sur leurs aptitudes à réussir cette mission contre le précieux tubercule – sauf Katkat qui réussit dans la discrétion la plus absolue à se vautrer dans un trou entre deux racines. Finalement obligé d’appeler les autres à l’aide, et même de gueuler pour rompre la conversation animée de ses compères, il est évident que les deux braves sentinelles présentes finissent par repérer les intrus et à débarouler dans leur dos ni vu ni connu. Mais Rouge veillait, et snipe l’une des sentinelles ; il n’en faut pas plus à Wale pour sauter sur la seconde avec ses gants de contacts, provocant une crise d’épilepsie hyper aigüe à la victime qui en décèdera rapidement, non sans avoir lâché une salve dans les airs avec son uzi.
Dans cette sombre forêt silencieuse, les échos assourdissants des détonations n’en finissent pas de se répéter à l’infini, comme une ignoble mise en abîme de l’absurdité de leur situation. A l’entrée de la mine, barricadés derrière des tas de pierre et d’engins délabrés aux usages perdus, les caverneux se replient, allument leurs projos et gueulent dans le porte voix le nom des sentinelles abattues. Le groupe se regarde, puis Chacal hurle de relâcher d’abord les filles. Rouge appuie la sommation en explosant l’un des projos. La situation s’embourbe comme un Katkat dans un trou bien visible, et après quelques échanges oraux infructueux où chacun reste sur ses positions, les caverneux arrosent la forêt de balles perdues, faisant voler la neige noire délicatement posée sur les branches des résineux tels de ténébreux papillons de morts annonçant un lugubre présage.
Le groupe se replie, et ayant repéré au-dessus de la mine des volutes de fumée, ils en déduisent que des failles subsistent dans la roche, servant de cheminées naturelles. C’est à ce moment que Jacky se joint à eux, enfin sorti de son coma éthylique et narcotique. Katkat en découvre une assez large pour le laisser passer, s’engage dedans et débouche dans une source chaude. Le contraste avec le froid de l’extérieur est saisissant. Les autres suivent de manière plus ou moins heureuse, comme Doc Mab qui termine inconscient dans le bassin chaud et se serait noyé sans la présence de ses petits camarades, une fois la crise de fou rire passée.
Chacal et Jacky commencent à explorer les cavernes mais très rapidement ils s’avèrent que deux types s’apprêtent à prendre un bon petit bain tranquilou…loupé car la présence d’une série de canons d’armes pointés sur eux empêche de se relaxer, de même que la présence d’un méga canon sexuel du nom de Rouge qui crée une raideur malavisée dans cette situation tendue. Quelques petites menaces et un noyé plus tard, le groupe se dirige vers la planque des filles avec un otage. Jusque là tout allait bien.
Au cœur de la mine, dans une pièce non fermée à clés, se trouvent des ados dont deux enceintes jusqu’aux yeux, la gamine de 10 ans et une petite cage thoracique que l’on déduit être le nourrisson. Mais les filles ne semblent guère enjouées d’être libérées. Jusque là tout allait encore bien.
Rouge, écoeurée de la situation, parle à l’otage des types qu’elle a butés et il s’avère que l’un d’entre eux était le frère de l’otage. Le type le prend légèrement mal et se précipite sur Rouge dans un hurlement de rage, se fracassant avec elle sur une épaisse poutre en chêne bien costaud. Il n’en faut pas plus à Katkat pour lui planter 40 cm de lame dans le bide. Et il n’en faut pas plus à la gamine pour hurler !!!! Voilà, là ça ne va plus bien.
Le hurlement raisonne et des courses de pas se dirigent vers leur position. Jacky et Chacal veulent négocier mais Doc Mab et Wale veulent remonter les filles par le tunnel. Les filles en question s’avançant avec réticence, Katkat s’enflamme et balance quelques gnons aux hasards, dont un malencontreux coup dans le ventre d’une des deux gamines enceintes qui, c’est balo, perd les eaux. Le groupe se retranche, les filles hurlent au secours, la fille enceinte hurle en poussant, l’autre fille enceinte hurle sur ses libérateurs, Jacky hurle qu’on peut négocier, la petite de 10 ans hurle de toutes ses forces, les caverneux hurlent de libérer les filles et les parois de la caverne hurlent tous les hurlements qu’elle peine à contenir. Finalement, c’est le petit hurlement du nouveau né qui provoquera un grand silence. Chacal en profite alors pour laisser passer les filles, et la plus grande favorise la discussion en expliquant qu’ils voulaient les sauver. Le chef des caverneux explique dès lors aux joueurs que ce sont les agriculteurs qui ont empiété sur la forêt et stopper les échanges, provoquant la disette parmi les caverneux. Le chef eut alors l’idée d’enlever des filles, de les acculturer et d’avoir des enfants des deux peuples, espérant que cela favoriserait un rapprochement. Quant aux tirs la veille sur les visiteurs, c’est pour leur faire peur et empêcher que des mercenaires viennent aider les agriculteurs.
C’est alors que des détonations sourdes retentissent et que de la poussière tombe en pluie sur les caverneux et le groupe. L’alarme retentit et quelques secondes plus tard, une sentinelle vient expliquer que les agriculteurs ont défoncé la barricade à l’aide d’un lance grenade… que Fusible a du démonter sur le véhicule de Katkat, fou de rage lorsqu’il comprend qu’on a touché à son bébé. Les voilà repartis par le conduit naturel tandis que les caverneux remontent pour tenter de repousser les agriculteurs. Lorsque la bande a de nouveau une vue sur la mine, il n’y a plus d’échos de tirs. Certains veulent rentrer, d’autres veulent comprendre. Certains disent que les agriculteurs les ont manipulé et d’autres disent que c’est juste des cons. Doc Mab et Max repartent sur un pressentiment de Chacal envers ses fidèles, tandis que Katkat, Wale et Jacky descendent couverts par Rouge. Katkat se gaufre, il y a embrouille et les gardes agriculteurs lui plombent la gueule, avant de se faire descendre à leur tour. Ca attire l’attention d’autres gardes qui échangent quelques coups de feux, et cette fois Wale prend cher à son tour. Aucun autre garde ne revient, car à l’intérieur de la mine des séries de tirs se font entendre. En jetant un œil, Jacky découvre es agriculteurs exterminant un par un les caverneux. Lambroi étant présent, une petite discussion est entamée, et il se trouve que les agriculteurs ont voulu venir les aider, espérant qu’avec le lance grenade il prendrait l’ascendant sur les caverneux, et ils sont très contents de l’opportunité. Désormais il n’y aura plus de soucis. Ils sont juste embêtés par la naissance du petit bâtard et du futur à venir.
Ecoeuré, le groupe repart, récupère véhicules et patates, et même embarquent les deux filles et le nourrisson. Prochaine étape, bonne question, mais l’une des gamines proposent Grand lac puis de prendre le train.
Chez Lambroi le repas passe très vite du convivial tendu, où le chef du village et ses fils ignorent leur femme et mère en n’ayant d’yeux que pour Rouge, au grand n’importe quoi lorsque le plat de pommes de terre se retrouve accompagné de champignons hallucinogènes et d’un alcool ultra agressif. Max, qui s’est reveillée aveugle de son trip à l’adrénaline, retrouve petit à petit la vue pour contempler Max et Wale front contre front en transe sur un délire de fleuve et voie ferrée en spirale, ainsi qu’une Rouge bouffant des patates en encourageant la femme du chef en train de se faire prendre à même le sol par son mari et Katkat en même temps. Des fois, la cécité ça a du bon.
Le lendemain c’est dans une ambiance de gueule de bois dubitative, sous une neige noire et visqueuse, que le groupe se met en marche vers la mine des caverneux. Parce que ok, ils ont dit qu’ils iraient récupérer les filles du village en échange de pommes de terre ; mais bon, ça reste un village isolé de ploucs flippés bas du front, et en face y a des types armés cachés dans une mine qu’on sait pas trop à quoi ça ressemble. Et y en a comme Wale qui se demande, quand même, si le deal contre des patates c’est bien équitable. Enfin bref, ça rechigne, ça regimbe, ça grogne, ça maugrée sous ces putains de flocons noirauds, et puis ça caille comme dans le cul d’un mort, et puis cette connasse de Rouge qui s’éclate à se faire traîner par deux bikers contre une demie pipe pour deux, insensible au froid et à la neige qui tombe sur sa peau. Mais quelle salope !!!!! Lorsqu’ils entrent dans la forêt, la salope en question est déjà partie en repérage, ni vue ni connue, tandis que les autres se questionnent toujours sur leurs aptitudes à réussir cette mission contre le précieux tubercule – sauf Katkat qui réussit dans la discrétion la plus absolue à se vautrer dans un trou entre deux racines. Finalement obligé d’appeler les autres à l’aide, et même de gueuler pour rompre la conversation animée de ses compères, il est évident que les deux braves sentinelles présentes finissent par repérer les intrus et à débarouler dans leur dos ni vu ni connu. Mais Rouge veillait, et snipe l’une des sentinelles ; il n’en faut pas plus à Wale pour sauter sur la seconde avec ses gants de contacts, provocant une crise d’épilepsie hyper aigüe à la victime qui en décèdera rapidement, non sans avoir lâché une salve dans les airs avec son uzi.
Dans cette sombre forêt silencieuse, les échos assourdissants des détonations n’en finissent pas de se répéter à l’infini, comme une ignoble mise en abîme de l’absurdité de leur situation. A l’entrée de la mine, barricadés derrière des tas de pierre et d’engins délabrés aux usages perdus, les caverneux se replient, allument leurs projos et gueulent dans le porte voix le nom des sentinelles abattues. Le groupe se regarde, puis Chacal hurle de relâcher d’abord les filles. Rouge appuie la sommation en explosant l’un des projos. La situation s’embourbe comme un Katkat dans un trou bien visible, et après quelques échanges oraux infructueux où chacun reste sur ses positions, les caverneux arrosent la forêt de balles perdues, faisant voler la neige noire délicatement posée sur les branches des résineux tels de ténébreux papillons de morts annonçant un lugubre présage.
Le groupe se replie, et ayant repéré au-dessus de la mine des volutes de fumée, ils en déduisent que des failles subsistent dans la roche, servant de cheminées naturelles. C’est à ce moment que Jacky se joint à eux, enfin sorti de son coma éthylique et narcotique. Katkat en découvre une assez large pour le laisser passer, s’engage dedans et débouche dans une source chaude. Le contraste avec le froid de l’extérieur est saisissant. Les autres suivent de manière plus ou moins heureuse, comme Doc Mab qui termine inconscient dans le bassin chaud et se serait noyé sans la présence de ses petits camarades, une fois la crise de fou rire passée.
Chacal et Jacky commencent à explorer les cavernes mais très rapidement ils s’avèrent que deux types s’apprêtent à prendre un bon petit bain tranquilou…loupé car la présence d’une série de canons d’armes pointés sur eux empêche de se relaxer, de même que la présence d’un méga canon sexuel du nom de Rouge qui crée une raideur malavisée dans cette situation tendue. Quelques petites menaces et un noyé plus tard, le groupe se dirige vers la planque des filles avec un otage. Jusque là tout allait bien.
Au cœur de la mine, dans une pièce non fermée à clés, se trouvent des ados dont deux enceintes jusqu’aux yeux, la gamine de 10 ans et une petite cage thoracique que l’on déduit être le nourrisson. Mais les filles ne semblent guère enjouées d’être libérées. Jusque là tout allait encore bien.
Rouge, écoeurée de la situation, parle à l’otage des types qu’elle a butés et il s’avère que l’un d’entre eux était le frère de l’otage. Le type le prend légèrement mal et se précipite sur Rouge dans un hurlement de rage, se fracassant avec elle sur une épaisse poutre en chêne bien costaud. Il n’en faut pas plus à Katkat pour lui planter 40 cm de lame dans le bide. Et il n’en faut pas plus à la gamine pour hurler !!!! Voilà, là ça ne va plus bien.
Le hurlement raisonne et des courses de pas se dirigent vers leur position. Jacky et Chacal veulent négocier mais Doc Mab et Wale veulent remonter les filles par le tunnel. Les filles en question s’avançant avec réticence, Katkat s’enflamme et balance quelques gnons aux hasards, dont un malencontreux coup dans le ventre d’une des deux gamines enceintes qui, c’est balo, perd les eaux. Le groupe se retranche, les filles hurlent au secours, la fille enceinte hurle en poussant, l’autre fille enceinte hurle sur ses libérateurs, Jacky hurle qu’on peut négocier, la petite de 10 ans hurle de toutes ses forces, les caverneux hurlent de libérer les filles et les parois de la caverne hurlent tous les hurlements qu’elle peine à contenir. Finalement, c’est le petit hurlement du nouveau né qui provoquera un grand silence. Chacal en profite alors pour laisser passer les filles, et la plus grande favorise la discussion en expliquant qu’ils voulaient les sauver. Le chef des caverneux explique dès lors aux joueurs que ce sont les agriculteurs qui ont empiété sur la forêt et stopper les échanges, provoquant la disette parmi les caverneux. Le chef eut alors l’idée d’enlever des filles, de les acculturer et d’avoir des enfants des deux peuples, espérant que cela favoriserait un rapprochement. Quant aux tirs la veille sur les visiteurs, c’est pour leur faire peur et empêcher que des mercenaires viennent aider les agriculteurs.
C’est alors que des détonations sourdes retentissent et que de la poussière tombe en pluie sur les caverneux et le groupe. L’alarme retentit et quelques secondes plus tard, une sentinelle vient expliquer que les agriculteurs ont défoncé la barricade à l’aide d’un lance grenade… que Fusible a du démonter sur le véhicule de Katkat, fou de rage lorsqu’il comprend qu’on a touché à son bébé. Les voilà repartis par le conduit naturel tandis que les caverneux remontent pour tenter de repousser les agriculteurs. Lorsque la bande a de nouveau une vue sur la mine, il n’y a plus d’échos de tirs. Certains veulent rentrer, d’autres veulent comprendre. Certains disent que les agriculteurs les ont manipulé et d’autres disent que c’est juste des cons. Doc Mab et Max repartent sur un pressentiment de Chacal envers ses fidèles, tandis que Katkat, Wale et Jacky descendent couverts par Rouge. Katkat se gaufre, il y a embrouille et les gardes agriculteurs lui plombent la gueule, avant de se faire descendre à leur tour. Ca attire l’attention d’autres gardes qui échangent quelques coups de feux, et cette fois Wale prend cher à son tour. Aucun autre garde ne revient, car à l’intérieur de la mine des séries de tirs se font entendre. En jetant un œil, Jacky découvre es agriculteurs exterminant un par un les caverneux. Lambroi étant présent, une petite discussion est entamée, et il se trouve que les agriculteurs ont voulu venir les aider, espérant qu’avec le lance grenade il prendrait l’ascendant sur les caverneux, et ils sont très contents de l’opportunité. Désormais il n’y aura plus de soucis. Ils sont juste embêtés par la naissance du petit bâtard et du futur à venir.
Ecoeuré, le groupe repart, récupère véhicules et patates, et même embarquent les deux filles et le nourrisson. Prochaine étape, bonne question, mais l’une des gamines proposent Grand lac puis de prendre le train.
Eric- Niveau 7
- Nombre de messages : 3874
Age : 43
Prénom (valide requis) : Eric
Date d'inscription : 30/07/2008
Sujets similaires
» Apocalypse World
» Apocalypse World
» Apocalypse World
» l'apocalypse à nanarland
» Loup Garou l'apocalypse.
» Apocalypse World
» Apocalypse World
» l'apocalypse à nanarland
» Loup Garou l'apocalypse.
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Lun 30 Jan - 12:39 par BigMaster
» vends : figurines seigneur des anneaux
Mer 9 Fév - 19:12 par Izae
» BRISKARS !!! Escarmouche teintée jdr en 54 mm
Mer 26 Jan - 12:12 par pascal
» Vendredi 14 janvier 2022
Ven 14 Jan - 5:39 par Tuco
» Vendredi 11 fevrier 2022
Jeu 13 Jan - 15:07 par Tuco
» Vendredi 28 janvier 2022
Dim 9 Jan - 12:51 par Tuco
» Vendredi 21 janvier 2022
Dim 9 Jan - 12:49 par Tuco
» Questions en tout genre.
Mer 5 Jan - 5:53 par Tuco
» Vendredi 7 janvier 2022
Mer 5 Jan - 5:36 par Tuco